Le Cabinet ministériel a abrité ce mardi 25 Septembre 2018 une réunion de haut niveau qui porte sur un projet d’aménagement des baies lagunaires d’Abidjan. Cette initiative qui vise à restaurer le milieu lagunaire d’Abidjan est supervisée par le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable. L’une de ses structures sous tutelle, le Centre Ivoirien Anti-Pollution (CIAPOL) porte le projet en collaboration avec le Conseil Régional du Pays de la Loire en France. A cet effet, François KOUABLAN, Directeur de Cabinet du Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, le Prof Joseph Séka SEKA a présidé une réunion de haut niveau à laquelle ont pris part une délégation de la collectivité locale et des chefs d’entreprises français conduite par Madame Christine Guerriau.
Cette rencontre a vu la présence effective de plusieurs membres du cabinet et les directeurs des structures sous tutelle, la Direction de l’Environnement et du Développement Durable (DGEDD), le CIAPOL, et l’Agence Nationale de d’Environnement (ANDE).
Dans le cadre du programme global de restauration du milieu lagunaire d’Abidjan, le gouvernement ivoirien a entrepris des grandes actions d’aménagement des différentes baies lagunaires d’Abidjan. Des études ont été lancées pour diagnostiquer les types de problèmes de ces espaces marins. C’est ainsi que les résultats ont révélé des dysfonctionnements à différents niveaux. Pour trouver des solutions palliatives, Un plan d’action a été élaboré à la suite des études en 11 sous-projets. Parmi eux, Le Ciapol a opté pour la gestion des macros déchets. Ce sont les ordures perceptibles à l’œil nu. Afin d’atteindre ses objectifs, le CIAPOL a effectué des missions de prospection pour solliciter des bailleurs de fonds en France, Précisément au Conseil Régional du Pays de la Loire. Le lobbying a payé vu que le trésor français a décidé de soutenir l’Etat ivoirien à restaurer ces espaces marins de la lagune Ebrié.
Le financement obtenu va porter sur une étude de faisabilité sur les macros déchets. Comment les quantifier ? Quels sont les différents types de déchets ? Comment les ramasser? Comment les valoriser ? Quel est leur apport sur le pays?
Toutes ces questions ont été débattues au cours de la séance de travail.
M. François KOUABLAN a réaffirmé à la délégation française la volonté de l’Etat de prioriser la promotion de l’environnement et du cadre de vie sain. Il a indiqué que cette étude vient innover les précédentes à cause des aspects pris en compte.
Selon le Directeur du Ciapol DIBY Martin, les études sur le projet vont démarrer en Décembre. Des entreprises françaises et des chercheurs apporteront leur expertise pour sa réussite. Sa réalisation va générer aussi des emplois.
Cette rencontre a vu la présence effective de plusieurs membres du cabinet et les directeurs des structures sous tutelle, la Direction de l’Environnement et du Développement Durable (DGEDD), le CIAPOL, et l’Agence Nationale de d’Environnement (ANDE).
Dans le cadre du programme global de restauration du milieu lagunaire d’Abidjan, le gouvernement ivoirien a entrepris des grandes actions d’aménagement des différentes baies lagunaires d’Abidjan. Des études ont été lancées pour diagnostiquer les types de problèmes de ces espaces marins. C’est ainsi que les résultats ont révélé des dysfonctionnements à différents niveaux. Pour trouver des solutions palliatives, Un plan d’action a été élaboré à la suite des études en 11 sous-projets. Parmi eux, Le Ciapol a opté pour la gestion des macros déchets. Ce sont les ordures perceptibles à l’œil nu. Afin d’atteindre ses objectifs, le CIAPOL a effectué des missions de prospection pour solliciter des bailleurs de fonds en France, Précisément au Conseil Régional du Pays de la Loire. Le lobbying a payé vu que le trésor français a décidé de soutenir l’Etat ivoirien à restaurer ces espaces marins de la lagune Ebrié.
Le financement obtenu va porter sur une étude de faisabilité sur les macros déchets. Comment les quantifier ? Quels sont les différents types de déchets ? Comment les ramasser? Comment les valoriser ? Quel est leur apport sur le pays?
Toutes ces questions ont été débattues au cours de la séance de travail.
M. François KOUABLAN a réaffirmé à la délégation française la volonté de l’Etat de prioriser la promotion de l’environnement et du cadre de vie sain. Il a indiqué que cette étude vient innover les précédentes à cause des aspects pris en compte.
Selon le Directeur du Ciapol DIBY Martin, les études sur le projet vont démarrer en Décembre. Des entreprises françaises et des chercheurs apporteront leur expertise pour sa réussite. Sa réalisation va générer aussi des emplois.