" Nous sommes mobilisés ce matin parce que, depuis le 4 juillet 2018, nous sommes entrés en grève et jusqu’à preuve du contraire, l’Etat de Côte d’Ivoire n’a toujours pas réagi, alors que l’Etat de Côte d’Ivoire, en nous recrutant, nous a fait la promesse de faire de nous des agents de l’Etat. Et jusque-là, rien n’est fait", a déclaré le porte-parole de la police universitaire, Diezon Kmondé au cours d’une conférence de presse qu’il a animée ce mercredi 26 septembre à l’université Nangui Abrogoua à Abidjan.
Les motifs de cette grève se définissent par la "détermination’’ de leur statut, la fixation de leurs salaires selon la grille salariale correspondant au baccalauréat, le paiement de leurs salaires par virement bancaire, le paiement "sans délai" de trois mois d’arriérés de salaire, une formation et des équipements ainsi que bien d’autres.
Les agents qui se disent ouverts au dialogue, veulent des "solutions définitives pour éviter tous désagréments’’. À en croire le porte-parole, le corps de métier auquel ses collègues et lui appartiennent n’a pas de statut alors, ils interpellent le chef de l’Etat afin que celui-ci prenne des mesures pour l’application des textes régissant la police universitaire comme annoncé à sa création.
Pour rappel, la police universitaire est née après la réhabilitation des universités et la volonté de l’Etat de sécuriser les espaces universitaires, autrefois en proie aux violences et assassinats.
Elle a pour mission de protéger les autorités académiques et administratives, de maintenir l’ordre sur le campus, d’anticiper sur tous les mouvements dans les campus par les renseignements et la sensibilisation...
CK
Les motifs de cette grève se définissent par la "détermination’’ de leur statut, la fixation de leurs salaires selon la grille salariale correspondant au baccalauréat, le paiement de leurs salaires par virement bancaire, le paiement "sans délai" de trois mois d’arriérés de salaire, une formation et des équipements ainsi que bien d’autres.
Les agents qui se disent ouverts au dialogue, veulent des "solutions définitives pour éviter tous désagréments’’. À en croire le porte-parole, le corps de métier auquel ses collègues et lui appartiennent n’a pas de statut alors, ils interpellent le chef de l’Etat afin que celui-ci prenne des mesures pour l’application des textes régissant la police universitaire comme annoncé à sa création.
Pour rappel, la police universitaire est née après la réhabilitation des universités et la volonté de l’Etat de sécuriser les espaces universitaires, autrefois en proie aux violences et assassinats.
Elle a pour mission de protéger les autorités académiques et administratives, de maintenir l’ordre sur le campus, d’anticiper sur tous les mouvements dans les campus par les renseignements et la sensibilisation...
CK