Gagnoa)- Plus de 400 chiens et chats ont été vaccinés contre la rage à Gagnoa, depuis vendredi, dans le cadre d'une campagne de vaccination gratuite des canines.
"Pour la seule journée du vendredi, qui marquait Journée mondiale de la rage, environs 300 chiens et chats avaient été vaccinés; la séance de vaccination gratuite se poursuit jusqu’à épuisement du stock", a confié mercredi à l'AIP, Dr Kaboré Salifou, coordonnateur de la cérémonie commémorative de la Journée mondiale de la rage et médecin-vétérinaire.
« La rage décime et tue à petit-feu », a averti docteur Kaboré, rappelant qu’au moins trois cas de décès de personne dû à la rage ont été constaté dans le département de Gagnoa au cours de l’année 2017.
En Côte d’Ivoire, l’on enregistre 18 décès par an en moyenne et 60% de ces décès provient du milieu rural.
Les décès sont certainement plus importants, du fait de la longue période d’incubation (deux ans), a fait observer docteur Kaboré. Au moment où débute la maladie, l’on peut ne pas faire, par ignorance notamment, la corrélation avec la morsure de l’animal ayant causée la rage, a-t-il dit.
La rage est une maladie infectieuse virale, mortelle à 100%, en cas d’absence de soins. Elle se transmet à l’homme par la salive ou sécrétions des animaux infectés, lors d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage d’une lésion chez l’homme.
Une personne mordue par un chien enragé, conserve une chance de survie, si la plaie est immédiatement nettoyés avec le plus grand soin, à grande eau et au savon et si la vaccination complète est mise en place à temps. Ces dispositions peuvent êtres complétées par une vaccination préventive, chez les personnes les plus exposées.
dd/tm
"Pour la seule journée du vendredi, qui marquait Journée mondiale de la rage, environs 300 chiens et chats avaient été vaccinés; la séance de vaccination gratuite se poursuit jusqu’à épuisement du stock", a confié mercredi à l'AIP, Dr Kaboré Salifou, coordonnateur de la cérémonie commémorative de la Journée mondiale de la rage et médecin-vétérinaire.
« La rage décime et tue à petit-feu », a averti docteur Kaboré, rappelant qu’au moins trois cas de décès de personne dû à la rage ont été constaté dans le département de Gagnoa au cours de l’année 2017.
En Côte d’Ivoire, l’on enregistre 18 décès par an en moyenne et 60% de ces décès provient du milieu rural.
Les décès sont certainement plus importants, du fait de la longue période d’incubation (deux ans), a fait observer docteur Kaboré. Au moment où débute la maladie, l’on peut ne pas faire, par ignorance notamment, la corrélation avec la morsure de l’animal ayant causée la rage, a-t-il dit.
La rage est une maladie infectieuse virale, mortelle à 100%, en cas d’absence de soins. Elle se transmet à l’homme par la salive ou sécrétions des animaux infectés, lors d’une morsure, d’une griffure ou d’un léchage d’une lésion chez l’homme.
Une personne mordue par un chien enragé, conserve une chance de survie, si la plaie est immédiatement nettoyés avec le plus grand soin, à grande eau et au savon et si la vaccination complète est mise en place à temps. Ces dispositions peuvent êtres complétées par une vaccination préventive, chez les personnes les plus exposées.
dd/tm