Aboisso- Le directeur général de l’Institut national d’hygiène publique (INHP), Pr Bénié Bi Joseph, a procédé, mardi, au lancement d'une campagne de démoustication à Aboisso.
Pour Pr Bénié Bi, le choix d’Aboisso pour cette opération se justifie par les inondations qu’à connues la cité du rocher il y a quelques mois, et la forte pluviométrie qu'enregistre la région occasionnant des retenues d’eaux, lieux de développement des moustiques.
Ces moustiques, a révélé le DG de l’INHP, transmettent des maladies telles le paludisme, la fièvre jaune, la dengue, et la maladie à virus Zika entre autres avec toutes les conséquences négatives sur la vie des personnes.
Il a conseillé, par conséquent, pour la réussite de l’opération de démoustication, la destruction par les populations, avec l’aide des agents de l’INHP, des gîtes larvaires, "c’est-à-dire des endroits où se reproduisent les moustiques". Il s’agit, a-t-il cité, des eaux stagnantes, des récipients d’eau non couverts, des vieux pneus, des boites abandonnées contenant de l’eau, des canaris d’eau, etc…
"Il faut donc pour éviter les moustiques vider toutes les retenues d’eau après chaque pluie, assécher les eaux stagnantes,éviter de garder des récipients contenant de l'eau non couvert, se débarrasser des objets usagés qui favorisent la présence et la reproduction des moustiques, désherber les alentours des maisons , détruire les bananiers et autres plantes engainantes et dormir sous des moustiquaires imprégnées d'insecticide", a recommandé le directeur de l’INHP, précisant que cette phase de destruction des gîtes larvaires sera suivie d'une pulvérisation d'insecticide dans l'espace pour détruire les moustiques adultes .
Cette opération se fera dans tous les quartiers, d’Aboisso à partir de mercredi selon un programme établit à cet effet par l’INHP, a-t-il en outre annoncé, exhortant les populations d’Aboisso à réserver un bon accueil aux agents commis à l’opération.
Le préfet de région et préfet d'Aboisso, Koffi Boni Ernest, et plusieurs organisations socio-professionnelles et religieuses, ont pris part à cette cérémonie.
Cette opération de démoustication se fait dans le cadre de la lutte contre la dengue, une maladie dangereuse n’ayant ni vaccin, ni traitement spécial.
akn/tm
Pour Pr Bénié Bi, le choix d’Aboisso pour cette opération se justifie par les inondations qu’à connues la cité du rocher il y a quelques mois, et la forte pluviométrie qu'enregistre la région occasionnant des retenues d’eaux, lieux de développement des moustiques.
Ces moustiques, a révélé le DG de l’INHP, transmettent des maladies telles le paludisme, la fièvre jaune, la dengue, et la maladie à virus Zika entre autres avec toutes les conséquences négatives sur la vie des personnes.
Il a conseillé, par conséquent, pour la réussite de l’opération de démoustication, la destruction par les populations, avec l’aide des agents de l’INHP, des gîtes larvaires, "c’est-à-dire des endroits où se reproduisent les moustiques". Il s’agit, a-t-il cité, des eaux stagnantes, des récipients d’eau non couverts, des vieux pneus, des boites abandonnées contenant de l’eau, des canaris d’eau, etc…
"Il faut donc pour éviter les moustiques vider toutes les retenues d’eau après chaque pluie, assécher les eaux stagnantes,éviter de garder des récipients contenant de l'eau non couvert, se débarrasser des objets usagés qui favorisent la présence et la reproduction des moustiques, désherber les alentours des maisons , détruire les bananiers et autres plantes engainantes et dormir sous des moustiquaires imprégnées d'insecticide", a recommandé le directeur de l’INHP, précisant que cette phase de destruction des gîtes larvaires sera suivie d'une pulvérisation d'insecticide dans l'espace pour détruire les moustiques adultes .
Cette opération se fera dans tous les quartiers, d’Aboisso à partir de mercredi selon un programme établit à cet effet par l’INHP, a-t-il en outre annoncé, exhortant les populations d’Aboisso à réserver un bon accueil aux agents commis à l’opération.
Le préfet de région et préfet d'Aboisso, Koffi Boni Ernest, et plusieurs organisations socio-professionnelles et religieuses, ont pris part à cette cérémonie.
Cette opération de démoustication se fait dans le cadre de la lutte contre la dengue, une maladie dangereuse n’ayant ni vaccin, ni traitement spécial.
akn/tm