A l’occasion du championnat d’Afrique de Maracana (MARA’CAN 2018), le projet d’appui au développement du marché local de la banane dessert était sur le "terrain" pour sensibiliser les acteurs du sport à la consommation de ce fruit.
Il s’agissait de faire la promotion, de la banane produite localement, auprès des sportifs et de l’ensemble des populations ivoiriennes et aussi montrer les vertus de ce fruit et les avantages qu’il y a à l’intégrer dans leur habitude nutritive.
« 80% de notre production est vendue sur le continent européen où nous sommes en concurrence avec d’autres bananes dont la "banane dollars" provenant de l’Amérique Latine. Nous avons saisi cette lucarne pour montrer aux sportifs les bienfaits de la banane dessert. C’est donc de montrer aux sportifs et à l’ensemble des populations ivoiriennes, les bienfaits et les vertus de la banane pour la santé et pour les sportifs », a expliqué Aka N’guessan Hervé coordonnateur du projet.
Poursuivant, il renchérit pour dire qu’il y des perspectives de croissance dans l’accroissement de production. « Il faut donc trouver un marché local pour palier à cette croissance et des marchés de dégagement au cas où il y aurait des problèmes sur le marché européen. »
Pour cela, le projet a mis en place une stratégie basée sur trois axes majeurs à savoir trouver un cadre normatif pour réguler la qualité des bananes mises sur le marché, appuyer les hommes du métier au murissage de la banane et présenter les qualités nutritives et énergétiques de la banane pour la population en général et les sportifs en particulier.
Il s’est réjouit de ce que cette stratégie porte ses fruit puisque "des personnes d’autres pays, des guinéens et des béninois notamment nous ont contacté à l’effet de tisser des partenariats pour pouvoir vendre la banane dans leur pays, c’est déjà des retombées positives."
En Côte d’Ivoire, il y a six structures de productions de bananes réunies en deux organisations : l’Organisation des producteurs-exportateurs de Bananes, d’Ananas et de Mangues de Côte d’Ivoire (OBAMCI) et l’Organisation Centrale des producteurs-exportateurs d’Ananas et de Bananes (OCAB). A l’initiative du projet, les deux organisations se sont mises ensemble pour recevoir un financement de l’Union Européenne afin de développer un marché local de consommation.
La Côte d’Ivoire est le premier fournisseur africain de banane dessert, au continent Européen, avec 350 000 tonnes par an.
Atapointe
Il s’agissait de faire la promotion, de la banane produite localement, auprès des sportifs et de l’ensemble des populations ivoiriennes et aussi montrer les vertus de ce fruit et les avantages qu’il y a à l’intégrer dans leur habitude nutritive.
« 80% de notre production est vendue sur le continent européen où nous sommes en concurrence avec d’autres bananes dont la "banane dollars" provenant de l’Amérique Latine. Nous avons saisi cette lucarne pour montrer aux sportifs les bienfaits de la banane dessert. C’est donc de montrer aux sportifs et à l’ensemble des populations ivoiriennes, les bienfaits et les vertus de la banane pour la santé et pour les sportifs », a expliqué Aka N’guessan Hervé coordonnateur du projet.
Poursuivant, il renchérit pour dire qu’il y des perspectives de croissance dans l’accroissement de production. « Il faut donc trouver un marché local pour palier à cette croissance et des marchés de dégagement au cas où il y aurait des problèmes sur le marché européen. »
Pour cela, le projet a mis en place une stratégie basée sur trois axes majeurs à savoir trouver un cadre normatif pour réguler la qualité des bananes mises sur le marché, appuyer les hommes du métier au murissage de la banane et présenter les qualités nutritives et énergétiques de la banane pour la population en général et les sportifs en particulier.
Il s’est réjouit de ce que cette stratégie porte ses fruit puisque "des personnes d’autres pays, des guinéens et des béninois notamment nous ont contacté à l’effet de tisser des partenariats pour pouvoir vendre la banane dans leur pays, c’est déjà des retombées positives."
En Côte d’Ivoire, il y a six structures de productions de bananes réunies en deux organisations : l’Organisation des producteurs-exportateurs de Bananes, d’Ananas et de Mangues de Côte d’Ivoire (OBAMCI) et l’Organisation Centrale des producteurs-exportateurs d’Ananas et de Bananes (OCAB). A l’initiative du projet, les deux organisations se sont mises ensemble pour recevoir un financement de l’Union Européenne afin de développer un marché local de consommation.
La Côte d’Ivoire est le premier fournisseur africain de banane dessert, au continent Européen, avec 350 000 tonnes par an.
Atapointe