Le personnel de l’Agence ivoiriennes de presse (AIP) a été sensibilisé, vendredi, sur les risques de contamination de l’hépatite, lors de la célébration d’une journée de lutte contre cette pandémie, organisée dans les locaux de ladite agence.
S’exprimant à l’occasion, sur le thème « Sur les facteurs de risques de contamination des hépatites virales », le professeur Bathaix Yao Fulgence, hématologue, a expliqué que la contamination sanguine, la transmission par voies sexuelles, le contact avec des objets contaminés non stérilisés (aiguille, seringue), la transmission par les flux corporelles (sueur, salive, etc), représentent entre autres le passage préféré du virus de l’hépatite.
Il a indiqué que les hépatites, aussi appelées maladies d’ignorance, sont dangereuses et tuent les populations beaucoup plus rapidement que le Sida de nos jours et sont à l’origine des pathologies telles que la cirrhose de foie et le cancer de foie.
Pr Bathaix Yao Fulgence a fait observer que les méthodes de contamination étant nombreuses et inconnues des populations, il convient de se mettre à l’abri, en adoptant la plus simple et la moins couteuse qui n’est autre que le dépistage volontaire, avant de penser au vaccin.
« De nos jours, les formes d’hépatites les plus dangereuses telles que C et B ont des traitements disponibles et une prise en charge qui les accompagnent. Ainsi, la boite de médicament du traitement du B est à 8.000 francs CFA le mois et celui du C, entre 250 à 300.000 francs CFA le mois », a-t-il rassuré.
Pour lui, le meilleur traitement pour lutter efficacement contre cette maladie endémique est la prévention.
Une séance de dépistage aux pathologies du diabète et de l’hépatite des agents de l’AIP a permis de mettre un point final à cette journée de sensibilisation.
(AIP)
raz/fmo
S’exprimant à l’occasion, sur le thème « Sur les facteurs de risques de contamination des hépatites virales », le professeur Bathaix Yao Fulgence, hématologue, a expliqué que la contamination sanguine, la transmission par voies sexuelles, le contact avec des objets contaminés non stérilisés (aiguille, seringue), la transmission par les flux corporelles (sueur, salive, etc), représentent entre autres le passage préféré du virus de l’hépatite.
Il a indiqué que les hépatites, aussi appelées maladies d’ignorance, sont dangereuses et tuent les populations beaucoup plus rapidement que le Sida de nos jours et sont à l’origine des pathologies telles que la cirrhose de foie et le cancer de foie.
Pr Bathaix Yao Fulgence a fait observer que les méthodes de contamination étant nombreuses et inconnues des populations, il convient de se mettre à l’abri, en adoptant la plus simple et la moins couteuse qui n’est autre que le dépistage volontaire, avant de penser au vaccin.
« De nos jours, les formes d’hépatites les plus dangereuses telles que C et B ont des traitements disponibles et une prise en charge qui les accompagnent. Ainsi, la boite de médicament du traitement du B est à 8.000 francs CFA le mois et celui du C, entre 250 à 300.000 francs CFA le mois », a-t-il rassuré.
Pour lui, le meilleur traitement pour lutter efficacement contre cette maladie endémique est la prévention.
Une séance de dépistage aux pathologies du diabète et de l’hépatite des agents de l’AIP a permis de mettre un point final à cette journée de sensibilisation.
(AIP)
raz/fmo