Abidjan- Des experts et universitaires sont réunis à Abidjan, à la faveur d’un colloque international, en vue de réfléchir, au cours d’un atelier de deux jours ouvert ce lundi, à Abidjan, sur les stratégies d’une adaptation de l’enseignement dans Supérieur aux normes internationales dans les sous-régions ouest-africaine, centrale et du Sahel.
Selon la première conseillère de l’Ambassade de France, Annick Diener, à l’ouverture des travaux, il s’agira pour les participants d’analyser les enjeux de l’assurance qualité en Afrique francophone, à travers un partage de bonnes pratiques basées sur les normes internationales.
Pour la France qui ambitionne avec la Côte d’Ivoire la création d’un hub à vocation régionale, a-t-elle poursuivi, il est important d’organiser ces genres de rendez-vous pour plancher sur la qualité des formations et leur adéquation avec les besoins de l’économie, en vue de faciliter l’insertion professionnelle des étudiants, le développement de la Côte d’Ivoire et le renforcement des liens qui unissent les deux pays.
C’est dans cette perspective que le gouvernement ivoirien a fait construire de nouvelles universités et réhabiliter les existantes afin d’augmenter la capacité d’accueil des étudiants et leur offrir une formation pertinente conforme aux standards internationaux en vue d’une cohérence avec les besoins du marché de travail.
Au nom du ministre de l’Enseignement technique et de la Recherche scientifique, Simplice Dion a dit prendre « la mesure de l’impact de ce colloque » qui porte sur le thème, « L’Assurance qualité dans l’enseignement supérieur et la Recherche : évolutions récentes dans la sous-Afrique de l’Ouest, Afrique centrale et Sahel ».
« Je suis certain que les différents échanges que vous aurez au cours des échanges et tables rondes, ainsi que les échanges individuels, vont contribuer à l’atteinte des objectifs assignés à la DGQE, à court, moyen et long terme », a-t-il confié.
Ce colloque qui prendra fin mardi, est organisé avec l’appui de plusieurs acteurs français dont l’Agence française de développement (AFD), le Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) et la Commission des titres d’ingénieur (CTI).
Le volet Enseignement supérieur du Contrat de désendettement et de développement (C2D) est de 97 millions £ et plus de 50 formations conjointes franco-ivoiriennes sont disponibles en Côte d’Ivoire, a-t-on appris de la Première conseillère de l’Ambassade de France.
fmo
Selon la première conseillère de l’Ambassade de France, Annick Diener, à l’ouverture des travaux, il s’agira pour les participants d’analyser les enjeux de l’assurance qualité en Afrique francophone, à travers un partage de bonnes pratiques basées sur les normes internationales.
Pour la France qui ambitionne avec la Côte d’Ivoire la création d’un hub à vocation régionale, a-t-elle poursuivi, il est important d’organiser ces genres de rendez-vous pour plancher sur la qualité des formations et leur adéquation avec les besoins de l’économie, en vue de faciliter l’insertion professionnelle des étudiants, le développement de la Côte d’Ivoire et le renforcement des liens qui unissent les deux pays.
C’est dans cette perspective que le gouvernement ivoirien a fait construire de nouvelles universités et réhabiliter les existantes afin d’augmenter la capacité d’accueil des étudiants et leur offrir une formation pertinente conforme aux standards internationaux en vue d’une cohérence avec les besoins du marché de travail.
Au nom du ministre de l’Enseignement technique et de la Recherche scientifique, Simplice Dion a dit prendre « la mesure de l’impact de ce colloque » qui porte sur le thème, « L’Assurance qualité dans l’enseignement supérieur et la Recherche : évolutions récentes dans la sous-Afrique de l’Ouest, Afrique centrale et Sahel ».
« Je suis certain que les différents échanges que vous aurez au cours des échanges et tables rondes, ainsi que les échanges individuels, vont contribuer à l’atteinte des objectifs assignés à la DGQE, à court, moyen et long terme », a-t-il confié.
Ce colloque qui prendra fin mardi, est organisé avec l’appui de plusieurs acteurs français dont l’Agence française de développement (AFD), le Haut conseil de l’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur (HCERES) et la Commission des titres d’ingénieur (CTI).
Le volet Enseignement supérieur du Contrat de désendettement et de développement (C2D) est de 97 millions £ et plus de 50 formations conjointes franco-ivoiriennes sont disponibles en Côte d’Ivoire, a-t-on appris de la Première conseillère de l’Ambassade de France.
fmo