Abidjan- Le Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (PASRES), forme depuis lundi, 25 enseignantes-chercheures de l’université Alassane Ouattara de Bouaké aux techniques rédactionnelles de projets de recherche et de financement.
Ce séminaire de formation qui s’achève mercredi vise à donner les moyens nécessaires aux femmes de s’insérer dans le tissu de recherche du pays.
« On a seulement 1/3 de femmes bénéficiaires de financement du Pasres pour des travaux de recherche. Il faut inverser la tendance d’ici à 2020. A défaut, il faut arriver à au moins 40% de taux d’enseignantes-chercheurs bénéficiaires de financement de projets de recherche du Pasres », a justifié le secrétaire exécutif du PASERES, Dr Sangaré Yaya, pour qui le développement du pays ne paut pas se faire en se privant de la contribution d’une frange importante du monde scientifique.
« Les femmes sont l‘avenir de ce pays. Elles jouent un rôle important en termes d’innovation et de développement et constituent la moitié du potentiel humain de la Côte d’Ivoire. Nous avons jugé extrêmement important de contribuer à améliorer leur participation aux efforts de recherche et d’innovation dans notre pays », a-t-il soutenu.
A son avis, des efforts de ce genre doivent être faits pour permettre une plus grande représentativité des femmes en matière de recherche.
Le président de l’université Alassane Ouattara de Bouaké, Pr Lazare Poamé, a dit sa joie face à cette action de générosité de la part du PASERES, et formulé le vœu de voir se généraliser ce type de formation au profit des femmes.
Pr Poamé a exhorté les apprenantes à profiter de cette formation qui pourrait constituer une source d’épanouissement dans leur vie professionnelle et dans leurs différents foyers.
raz/aaa/tm
Ce séminaire de formation qui s’achève mercredi vise à donner les moyens nécessaires aux femmes de s’insérer dans le tissu de recherche du pays.
« On a seulement 1/3 de femmes bénéficiaires de financement du Pasres pour des travaux de recherche. Il faut inverser la tendance d’ici à 2020. A défaut, il faut arriver à au moins 40% de taux d’enseignantes-chercheurs bénéficiaires de financement de projets de recherche du Pasres », a justifié le secrétaire exécutif du PASERES, Dr Sangaré Yaya, pour qui le développement du pays ne paut pas se faire en se privant de la contribution d’une frange importante du monde scientifique.
« Les femmes sont l‘avenir de ce pays. Elles jouent un rôle important en termes d’innovation et de développement et constituent la moitié du potentiel humain de la Côte d’Ivoire. Nous avons jugé extrêmement important de contribuer à améliorer leur participation aux efforts de recherche et d’innovation dans notre pays », a-t-il soutenu.
A son avis, des efforts de ce genre doivent être faits pour permettre une plus grande représentativité des femmes en matière de recherche.
Le président de l’université Alassane Ouattara de Bouaké, Pr Lazare Poamé, a dit sa joie face à cette action de générosité de la part du PASERES, et formulé le vœu de voir se généraliser ce type de formation au profit des femmes.
Pr Poamé a exhorté les apprenantes à profiter de cette formation qui pourrait constituer une source d’épanouissement dans leur vie professionnelle et dans leurs différents foyers.
raz/aaa/tm