Le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka, a annoncé lundi que grâce à l’appui des partenaires techniques et financiers notamment, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD), la Côte d’Ivoire a pu mobiliser environ 12 milliards de FCFA pour mettre en œuvre le Programme d’Investissement Forestier (PIF) dans les zones du Sud-ouest et du Centre du pays.
Le ministre Séka Séka s’est exprimé lors du lancement du Projet d’investissement forestier (PIF) Banque mondiale Côte d’Ivoire, lundi, à la salle de l’auditorium de la Primature à Abidjan.
Remerciant la Banque mondiale pour son soutien technique et financier, « sans cesse croissant », Joseph Séka Séka a également indiqué que le pays bénéficiera de 2,250 milliards de F CFA de la part de l’institution financière pour la mise en œuvre du don spécial aux communautés locales (DGM).
Ce Projet d’investissement forestier s’inscrit dans le cadre de la réalisation du mécanisme de Réduction des Emissions de gaz à effet de serre due à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts (REDD+). Un mécanisme visant à fournir des incitations positives aux pays en développement pour réduire les émissions provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts en plus d’améliorer et gérer durablement les forêts restantes.
« Je voudrais vous assurer de notre disponibilité à vous apporter l’appui nécessaire la réalisation de ces objectifs », a rassuré le coordonnateur sectoriel de la Banque mondiale, Sunil Mathrani lors de la cérémonie de lancement, souhaitant que la mise en œuvre du projet se fasse dans un esprit de collaboration fructueuse.
Selon le coordonnateur du projet de l’Unité intégrée d’administration des projets (UIAP), Kouadio Georges, au total quatorze forêts classées du centre et du sud-ouest du pays précisément dans les régions du N’Zi, Moronou, Gbêkê, Cavally, Guémon, Nawa et San-Pédro et parc national de Taï sont concernés par les actions du PIF dont l’objectif est de conserver, d’augmenter le stock forestier, et d’améliorer l’accès de communautés sélectionnées aux revenus issus de la gestion durable des forêts au sein de ses zones cibles.
(AIP)
bsb/tm
Le ministre Séka Séka s’est exprimé lors du lancement du Projet d’investissement forestier (PIF) Banque mondiale Côte d’Ivoire, lundi, à la salle de l’auditorium de la Primature à Abidjan.
Remerciant la Banque mondiale pour son soutien technique et financier, « sans cesse croissant », Joseph Séka Séka a également indiqué que le pays bénéficiera de 2,250 milliards de F CFA de la part de l’institution financière pour la mise en œuvre du don spécial aux communautés locales (DGM).
Ce Projet d’investissement forestier s’inscrit dans le cadre de la réalisation du mécanisme de Réduction des Emissions de gaz à effet de serre due à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts (REDD+). Un mécanisme visant à fournir des incitations positives aux pays en développement pour réduire les émissions provenant de la déforestation et de la dégradation des forêts en plus d’améliorer et gérer durablement les forêts restantes.
« Je voudrais vous assurer de notre disponibilité à vous apporter l’appui nécessaire la réalisation de ces objectifs », a rassuré le coordonnateur sectoriel de la Banque mondiale, Sunil Mathrani lors de la cérémonie de lancement, souhaitant que la mise en œuvre du projet se fasse dans un esprit de collaboration fructueuse.
Selon le coordonnateur du projet de l’Unité intégrée d’administration des projets (UIAP), Kouadio Georges, au total quatorze forêts classées du centre et du sud-ouest du pays précisément dans les régions du N’Zi, Moronou, Gbêkê, Cavally, Guémon, Nawa et San-Pédro et parc national de Taï sont concernés par les actions du PIF dont l’objectif est de conserver, d’augmenter le stock forestier, et d’améliorer l’accès de communautés sélectionnées aux revenus issus de la gestion durable des forêts au sein de ses zones cibles.
(AIP)
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