Ce mardi 23 Octobre, le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est exprimé devant le Parlement à Ankara, trois semaines après le meurtre du journaliste saoudien Jamal Khashoggi au sein du consulat d’Arabie Saoudite à Istanbul. Pourtant, face aux réactions mondiales, l’Afrique reste dans le silence.
Après avoir qualifié l’événement « d’acte politique », le président turc a ordonné à ce que le commando composé de quinze personnes, venu expressément de Riyad pour exécuter le journaliste critique du régime saoudien, soit jugé à Istanbul. Il a aussi demandé à retrouver le corps du journaliste. Enfin, Erdogan a ajouté que le meurtre avait été « planifié »et que le système de vidéosurveillance du consulat saoudien avait été désactivé.
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Après avoir qualifié l’événement « d’acte politique », le président turc a ordonné à ce que le commando composé de quinze personnes, venu expressément de Riyad pour exécuter le journaliste critique du régime saoudien, soit jugé à Istanbul. Il a aussi demandé à retrouver le corps du journaliste. Enfin, Erdogan a ajouté que le meurtre avait été « planifié »et que le système de vidéosurveillance du consulat saoudien avait été désactivé.
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