Douze syndicats du secteur de la santé en Côte d’Ivoire annoncent « un arrêt de travail » à compter de lundi pour une durée de cinq jours aux fins de revendiquer, entre autres l’amélioration du traitement salarial et des conditions de travail, selon une note dont APA a reçu copie et confirmée par une source syndicale, jeudi.
Ce mot d’ordre de grève intervient après une Assemblée générale extraordinaire tenue le 6 octobre 2018, par les secrétaires généraux des syndicats cosignataires du préavis de grève du 3 juillet et des résolutions de l’Assemblée générale du 14 juillet et du 4 août 2018.
L’Assemblée générale a donné mandat au Directoire de la Coordisanté et des syndicats associés de faire « observer effectivement à compter du lundi 5 novembre 2018, dès 7h30 GMT, un arrêt de travail collectif dans tous les établissements sanitaires publics pour une durée de cinq jours renouvelable».
Et ce, avec l’observation d’un service minimum dans les Centres hospitaliers universitaires (CHU), les Centres hospitaliers régionaux (CHR), les hôpitaux généraux, à l’Institut de cardiologie d’Abidjan, l’IRF d’Adzopé (bloc opératoire), l’Unité de distribution des produits sanguins (Cnts) et le SAMU (l’unité d’hémodialyse et d’intervention).
Il a été en outre décidé de l’arrêt de toute activité dans les services administratifs et sociaux des structures sanitaires, selon la note des syndicats signataires, qui prévoient de suspendre le mot d’ordre de grève, en Assemblée générale « dès satisfaction par le gouvernement des points de revendications ».
AP/ls/APA
Ce mot d’ordre de grève intervient après une Assemblée générale extraordinaire tenue le 6 octobre 2018, par les secrétaires généraux des syndicats cosignataires du préavis de grève du 3 juillet et des résolutions de l’Assemblée générale du 14 juillet et du 4 août 2018.
L’Assemblée générale a donné mandat au Directoire de la Coordisanté et des syndicats associés de faire « observer effectivement à compter du lundi 5 novembre 2018, dès 7h30 GMT, un arrêt de travail collectif dans tous les établissements sanitaires publics pour une durée de cinq jours renouvelable».
Et ce, avec l’observation d’un service minimum dans les Centres hospitaliers universitaires (CHU), les Centres hospitaliers régionaux (CHR), les hôpitaux généraux, à l’Institut de cardiologie d’Abidjan, l’IRF d’Adzopé (bloc opératoire), l’Unité de distribution des produits sanguins (Cnts) et le SAMU (l’unité d’hémodialyse et d’intervention).
Il a été en outre décidé de l’arrêt de toute activité dans les services administratifs et sociaux des structures sanitaires, selon la note des syndicats signataires, qui prévoient de suspendre le mot d’ordre de grève, en Assemblée générale « dès satisfaction par le gouvernement des points de revendications ».
AP/ls/APA