A Yamoussoukro pour le séminaire stratégique 2018 de son département (ministère de la Construction, du Logement et de la l’Urbanisme), M. Bruno Nabagné Koné, a rencontré, le jeudi 1er novembre (la veille du séminaire, Ndlr), la chefferie Akouè pour s’enquérir des préoccupations liées à la gestion foncière dans la capitale administrative et politique.
« Nous sommes conscients que tout développement a des avantages et des inconvénients. Monsieur le ministre, depuis l’avènement du transfert de la capitale à Yamoussoukro, c’est la première fois qu’un ministre en charge de la Construction rencontre les chefs de villages pour les problèmes du foncier. Soyez en remercié… Nous allons nous abstenir d’égrener un chapelet de problèmes que les villages de la commune vivent au quotidien, mais souffrez que nous vous présentions certaines de nos préoccupations qui se résument en sept points », a indiqué Kouassi Yao Maurice, Secrétaire général permanent, au nom de la chefferie Akouè.
La première de ces préoccupations porte sur le réduction du délai de l’approbation des lotissements ; la seconde sur le paiement des droits de purge avant le début des travaux sur les espaces touchés par des projets de l’Etat. En troisième position, les chefs Akouè demandent la prévision de sites pour l’extension des villages touchés par le plan administratif. Quand la quatrième doléance est liée aux difficultés d’extension de certains villages occupés par la zone administrative et politique (ZAP), notamment Bézro, Kpangbassou et Djahakro. La cinquième (qui a intrigué le ministre) est la prévision d’un site pour le cimetière municipal. Selon les chefs, au niveau du plan directeur, aucun espace n’a été prévu à cet effet. Ensuite, ils ont souhaité la revue à la baisse du coût de l’acte de construction définitif (ACD). Enfin, les chefs Akouè ont suggéré le déclassement des réserves loties par l’administration sur lesquelles la communauté villageoise détient des droits.
« Aujourd’hui, pour ces sites, certains de nos parents se retrouvent devant la justice… Nous souhaitons donc que le ministre ait une oreille attentive à ces préoccupations », a insisté le porte parole Kouassi Yao Maurice.
Toutes choses pour lesquelles, le ministre Bruno Nabagné Koné a promis de tout mettre en œuvre pour trouver des solutions durables. Révélant « nous sommes là avec l’ensemble de nos collaborateurs pour réfléchir. Notre objectif c’est de repartir sur un bon pied dans la mission qui nous a été confiée. »
Robert-Patrice Z. à Yamoussoukro
« Nous sommes conscients que tout développement a des avantages et des inconvénients. Monsieur le ministre, depuis l’avènement du transfert de la capitale à Yamoussoukro, c’est la première fois qu’un ministre en charge de la Construction rencontre les chefs de villages pour les problèmes du foncier. Soyez en remercié… Nous allons nous abstenir d’égrener un chapelet de problèmes que les villages de la commune vivent au quotidien, mais souffrez que nous vous présentions certaines de nos préoccupations qui se résument en sept points », a indiqué Kouassi Yao Maurice, Secrétaire général permanent, au nom de la chefferie Akouè.
La première de ces préoccupations porte sur le réduction du délai de l’approbation des lotissements ; la seconde sur le paiement des droits de purge avant le début des travaux sur les espaces touchés par des projets de l’Etat. En troisième position, les chefs Akouè demandent la prévision de sites pour l’extension des villages touchés par le plan administratif. Quand la quatrième doléance est liée aux difficultés d’extension de certains villages occupés par la zone administrative et politique (ZAP), notamment Bézro, Kpangbassou et Djahakro. La cinquième (qui a intrigué le ministre) est la prévision d’un site pour le cimetière municipal. Selon les chefs, au niveau du plan directeur, aucun espace n’a été prévu à cet effet. Ensuite, ils ont souhaité la revue à la baisse du coût de l’acte de construction définitif (ACD). Enfin, les chefs Akouè ont suggéré le déclassement des réserves loties par l’administration sur lesquelles la communauté villageoise détient des droits.
« Aujourd’hui, pour ces sites, certains de nos parents se retrouvent devant la justice… Nous souhaitons donc que le ministre ait une oreille attentive à ces préoccupations », a insisté le porte parole Kouassi Yao Maurice.
Toutes choses pour lesquelles, le ministre Bruno Nabagné Koné a promis de tout mettre en œuvre pour trouver des solutions durables. Révélant « nous sommes là avec l’ensemble de nos collaborateurs pour réfléchir. Notre objectif c’est de repartir sur un bon pied dans la mission qui nous a été confiée. »
Robert-Patrice Z. à Yamoussoukro
