Ce Jeudi 01 novembre 2018, la communauté de l`église Harriste du village de Brègboa a célébré la 59e édition de la fête de la liberté spirituelle du peuple noir qui coïncide avec la traditionnelle Fête de la Toussaint en présence de son éminence Nanguy Adjaco Faustin, patriarche-président mondial de l`église Harriste.
Village situé à une vingtaine de kilomètres de Bingerville, la fête de la Toussaint fut célébrée pour la toute première fois à Brègbo le 1er Novembre 1952, soit huit ans avant l’accession de la Côte d’Ivoire à l’indépendance.
En effet, en cette période coloniale, les peuples noirs disposaient de peu de temps pour vaquer à leurs propres activités ou se recréer. Dans un tel contexte, nos anciens saisiront l’opportunité de la journée du 1er novembre pour marquer leur reconnaissance à Dieu.
Cette fête traduit donc raison à savoir le souvenir des disciples de Jésus-Christ qui sont dans la Gloire de Dieu et sanctifiés par l’exercice de la charité, l’accueil de la miséricorde et le don de la grâce divine. Il s’agit ensuite, de célébrer la 59e édition de la fête de la liberté spirituelle du peuple noir qui se témoigne par leur reconnaissance et la restauration du peuple noir considéré comme prisonnier et esclave du diable.
Dans son sermon, le patriarche Nangui Adjaco Faustin a tenu à rappeler l’objet de leur présence à ce culte d’ouverture. « Notre présence à ce culte d’ouverture de notre pèlerinage ici à Brègbo s’inscrit donc dans la recherche de cette nourriture non physique, immatérielle pour notre ressourcement et réarmement spirituel. Peuple de Dieu, tel est le sens de notre dévotion au cours de ce pèlerinage 2018 » à souligné le patriarche.
« Pour l’église Harriste, c’est la fête de la liberté spirituelle du peuple noir, c’est tout simplement le témoignage de la reconnaissance des noirs-africains à l’Eternel Dieu pour ces bienfaits (Actes 7,34) » a tenu à rappeler Nangui Faustin.
« Le pèlerinage dira t-il à Brègbo est un symbole de notre unité, de notre solidarité et cohésion. Je vous exhorte à vous inscrire dans la continuité de la foi de nos anciens en nous appropriant ces valeurs et à les intégrer dans nos actions. Mutualisons nos énergies, nos moyens matériels et finances pour impulser le développement de notre église, dont le défi majeur demeure l’évangélisation, l’éducation et la formation spirituelle de nos fidèles et surtout une plus grande prise en compte du volet social » a-t-il conclu.
Prenant la parole au nom du Directeur Général des cultes et du ministre de l’intérieur et de la sécurité, M. Kouyate Zoumana directeur de la promotion de la laïcité et de liberté religieuse a traduit son soutien et encadrement en vers l’église de la communauté Harriste. « Je veux dire aux leaders des églises qu’ils prient d’avantage pour la paix, qu’ils sensibilisent ces différents fidèles afin que la Côte d’Ivoire puisse passer cette autre cap dans sa dynamique recherche du mieux être collectif » a indiqué M Kouyate Zoumana.
Durant trois jours (du 1er au 3 novembre), ce pèlerinage en terre sainte de Brègbo va offrir l’occasion aux pèlerins de participer aux réjouissances dont des temps de louanges de prières, des cultes d’action de grâce, des rencontres d’échanges, des recueillements spirituels, etc…
Village situé à une vingtaine de kilomètres de Bingerville, la fête de la Toussaint fut célébrée pour la toute première fois à Brègbo le 1er Novembre 1952, soit huit ans avant l’accession de la Côte d’Ivoire à l’indépendance.
En effet, en cette période coloniale, les peuples noirs disposaient de peu de temps pour vaquer à leurs propres activités ou se recréer. Dans un tel contexte, nos anciens saisiront l’opportunité de la journée du 1er novembre pour marquer leur reconnaissance à Dieu.
Cette fête traduit donc raison à savoir le souvenir des disciples de Jésus-Christ qui sont dans la Gloire de Dieu et sanctifiés par l’exercice de la charité, l’accueil de la miséricorde et le don de la grâce divine. Il s’agit ensuite, de célébrer la 59e édition de la fête de la liberté spirituelle du peuple noir qui se témoigne par leur reconnaissance et la restauration du peuple noir considéré comme prisonnier et esclave du diable.
Dans son sermon, le patriarche Nangui Adjaco Faustin a tenu à rappeler l’objet de leur présence à ce culte d’ouverture. « Notre présence à ce culte d’ouverture de notre pèlerinage ici à Brègbo s’inscrit donc dans la recherche de cette nourriture non physique, immatérielle pour notre ressourcement et réarmement spirituel. Peuple de Dieu, tel est le sens de notre dévotion au cours de ce pèlerinage 2018 » à souligné le patriarche.
« Pour l’église Harriste, c’est la fête de la liberté spirituelle du peuple noir, c’est tout simplement le témoignage de la reconnaissance des noirs-africains à l’Eternel Dieu pour ces bienfaits (Actes 7,34) » a tenu à rappeler Nangui Faustin.
« Le pèlerinage dira t-il à Brègbo est un symbole de notre unité, de notre solidarité et cohésion. Je vous exhorte à vous inscrire dans la continuité de la foi de nos anciens en nous appropriant ces valeurs et à les intégrer dans nos actions. Mutualisons nos énergies, nos moyens matériels et finances pour impulser le développement de notre église, dont le défi majeur demeure l’évangélisation, l’éducation et la formation spirituelle de nos fidèles et surtout une plus grande prise en compte du volet social » a-t-il conclu.
Prenant la parole au nom du Directeur Général des cultes et du ministre de l’intérieur et de la sécurité, M. Kouyate Zoumana directeur de la promotion de la laïcité et de liberté religieuse a traduit son soutien et encadrement en vers l’église de la communauté Harriste. « Je veux dire aux leaders des églises qu’ils prient d’avantage pour la paix, qu’ils sensibilisent ces différents fidèles afin que la Côte d’Ivoire puisse passer cette autre cap dans sa dynamique recherche du mieux être collectif » a indiqué M Kouyate Zoumana.
Durant trois jours (du 1er au 3 novembre), ce pèlerinage en terre sainte de Brègbo va offrir l’occasion aux pèlerins de participer aux réjouissances dont des temps de louanges de prières, des cultes d’action de grâce, des rencontres d’échanges, des recueillements spirituels, etc…