Depuis la région du Poro, à Korhogo (extrême nord ivoirien) où il effectue une visite des établissements sanitaires, le ministre de la Santé et de l’hygiène publique, Aka Aouélé, a plaidé auprès des syndicats du personnel de santé de surseoir à leur mot d’ordre de grève afin de lui donner le temps de régler les problèmes posés, rapporte la Télévision national dans son édition de 13h de dimanche.
« Je demande fraternellement aux syndicalistes de ne pas mettre à exécution ce mot d’ordre de grève » a déclaré Dr Aka Aouélé, sur les antennes de la RTI 1, à la tête du ministère depuis seulement trois mois.
Selon M. Aouélé, en trois mois, « personne ne peut faire de miracle (…) quelle que soit sa bonne volonté », a-t-il indiqué, soulignant n’avoir jamais rompu les négociations avec les syndicats regroupés au sein de la coordisanté, le mouvement de 12 syndicats du personnel ayant lancé le mot d’ordre de grève.
Pour le ministre de la santé, « les problèmes posés par les syndicats existent depuis longtemps et certains ont été réglés depuis que nous avons pris les rênes du ministère », a-t-il expliqué devant les caméras de la RTI 1, admettant, cependant, que « les questions financières dépassent notre seule compétence ».
« Quand on arrive à ce niveau, qu’on nous permette au moins de pouvoir présenter les textes en préparation à son excellence Monsieur le Premier ministre », a plaidé Aka Aouélé, faisant confiance au sens de la « responsabilité » des syndicalistes.
Douze syndicats de l’administration publique de la santé ont annoncé un arrêt de travail de cinq jours à compter de ce lundi, avec un service minimum assuré.
HS/ls/APA
« Je demande fraternellement aux syndicalistes de ne pas mettre à exécution ce mot d’ordre de grève » a déclaré Dr Aka Aouélé, sur les antennes de la RTI 1, à la tête du ministère depuis seulement trois mois.
Selon M. Aouélé, en trois mois, « personne ne peut faire de miracle (…) quelle que soit sa bonne volonté », a-t-il indiqué, soulignant n’avoir jamais rompu les négociations avec les syndicats regroupés au sein de la coordisanté, le mouvement de 12 syndicats du personnel ayant lancé le mot d’ordre de grève.
Pour le ministre de la santé, « les problèmes posés par les syndicats existent depuis longtemps et certains ont été réglés depuis que nous avons pris les rênes du ministère », a-t-il expliqué devant les caméras de la RTI 1, admettant, cependant, que « les questions financières dépassent notre seule compétence ».
« Quand on arrive à ce niveau, qu’on nous permette au moins de pouvoir présenter les textes en préparation à son excellence Monsieur le Premier ministre », a plaidé Aka Aouélé, faisant confiance au sens de la « responsabilité » des syndicalistes.
Douze syndicats de l’administration publique de la santé ont annoncé un arrêt de travail de cinq jours à compter de ce lundi, avec un service minimum assuré.
HS/ls/APA