Ce jeudi 08 Novembre 2018, s’est tenu à la direction générale de l’environnement à la Rivera 3 un atelier de restitution des résultats et leçons apprises de l’assistance technique : Appui technique à l’élaboration d’une stratégie pour la mise en place d’un système inclusif de Mesure, de Rapportage et de Vérification (MRV) des émissions des polluants à courte durée de vie et de suivi de la qualité l’air dans le District d’Abidjan.
L’objectif de cet atelier était de présenter les résultats de l’assistance technique à l’intention des décideurs politiques et PTF pour ainsi contribuer à la mise en œuvre des recommandations élaborées.
Spécifiquement, il s’agissait de d’informer davantage sur les enjeux des émissions de SLCP en général et les facteurs d’exposition au niveau du District d’Abidjan, de présenter la méthodologie conduite et surtout les résultats de l’assistance technique et de bonifier davantage la stratégie de mobilisation de ressources financières et logistiques en considérant les bonnes pratiques et leçons apprises en termes de déploiement d’un système MRV.
Le District d’Abidjan est marqué par une dégradation latente de la qualité de l’air ambiante et une manifestation accrue des effets des changements climatiques.
Dans cette perspective, la Côte d’Ivoire, à travers la Direction de la qualité de l’environnement et de la prévention des risques (DQEPR) et la Direction Générale de l’Environnement (DGE), a produit et soumis une requête d’assistance technique auprès du CTCN (Climate Technology Centre and Network) pour l’élaboration d’une stratégie de mise en place un dispositif cohérent, permanent et performant de mesure, de rapportage et vérification des émissions de SLCP et de suivi de la qualité de l’air pour renseigner régulièrement les cadres internationaux de rapportage des émissions de polluants climatiques à courte durée de vie (PCCDV- Short Lived Climate Pollutants en anglais) et mieux suivre la qualité de l’air ambiante.
« L’adoption, en mai 1992 de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), marque la prise de conscience de la communauté internationale, de l’ampleur du réchauffement de la terre et de ses répercussions sur la vie humaine, sur les activités économiques et sur l’environnement » dira Aboua Moïse, chef de cabinet, représentant le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable.
Pour l’atteinte de ses objectifs ajouta t-il, cette Convention-Cadre a mis en place plusieurs mécanismes. En plus de ceux qui existent déjà notamment le Mécanisme pour un Développement Propre (MDP) et la Réduction des Émissions issues de la Déforestation et la Dégradation des Forêts (REDD+), pour ne citer que ceux là, la Convention a mis en place le Mécanisme de technologies climatiques qui a pour bras opérationnel le Centre et Réseau des Technologies Climatiques.
Par ailleurs, Partie à cette Convention depuis le 29 novembre 1994, la Côte d’Ivoire s’est résolument engagée dans le transfert de technologies qui est un canal de lutte contre les effets néfastes des changements climatiques.
« La problématique de la qualité de l’air est de plus en plus prise en compte dans les politiques nationales. Ainsi, le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, dans le souci de mener des actions d’amélioration des conditions de vie des populations, a décidé de mettre en place un mécanisme de suivi de la qualité de l’air » s’est t-il exprimé.
Dans son intervention, Mr Libass Ba à souligné que Comme plusieurs pays l’ont déjà fait, la Côte d’Ivoire a répondu à la demande de cette instance internationale par la désignation officielle d’un Point Focal National sur les transferts de technologies depuis le mois de mai 2013.
Ce point focal a pour rôle de faciliter le soutien effectif du CRTC sur les soumissions nationales.
Rappelons qu’au terme de la mission, il est attendu les résultats qui suivent : Les acteurs sont mieux informés sur les enjeux des émissions de SLCP par rapport aux efforts d’atténuation aux changements climatiques et les facteurs d’exposition au niveau du District d’Abidjan sont davantage connus, les résultats de l’assistance technique sont présentés, la stratégie de mobilisation de ressources financières et logistiques pour la mise en œuvre de la stratégie du système MRV soit peaufinée davantage.
Atapointe
L’objectif de cet atelier était de présenter les résultats de l’assistance technique à l’intention des décideurs politiques et PTF pour ainsi contribuer à la mise en œuvre des recommandations élaborées.
Spécifiquement, il s’agissait de d’informer davantage sur les enjeux des émissions de SLCP en général et les facteurs d’exposition au niveau du District d’Abidjan, de présenter la méthodologie conduite et surtout les résultats de l’assistance technique et de bonifier davantage la stratégie de mobilisation de ressources financières et logistiques en considérant les bonnes pratiques et leçons apprises en termes de déploiement d’un système MRV.
Le District d’Abidjan est marqué par une dégradation latente de la qualité de l’air ambiante et une manifestation accrue des effets des changements climatiques.
Dans cette perspective, la Côte d’Ivoire, à travers la Direction de la qualité de l’environnement et de la prévention des risques (DQEPR) et la Direction Générale de l’Environnement (DGE), a produit et soumis une requête d’assistance technique auprès du CTCN (Climate Technology Centre and Network) pour l’élaboration d’une stratégie de mise en place un dispositif cohérent, permanent et performant de mesure, de rapportage et vérification des émissions de SLCP et de suivi de la qualité de l’air pour renseigner régulièrement les cadres internationaux de rapportage des émissions de polluants climatiques à courte durée de vie (PCCDV- Short Lived Climate Pollutants en anglais) et mieux suivre la qualité de l’air ambiante.
« L’adoption, en mai 1992 de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), marque la prise de conscience de la communauté internationale, de l’ampleur du réchauffement de la terre et de ses répercussions sur la vie humaine, sur les activités économiques et sur l’environnement » dira Aboua Moïse, chef de cabinet, représentant le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable.
Pour l’atteinte de ses objectifs ajouta t-il, cette Convention-Cadre a mis en place plusieurs mécanismes. En plus de ceux qui existent déjà notamment le Mécanisme pour un Développement Propre (MDP) et la Réduction des Émissions issues de la Déforestation et la Dégradation des Forêts (REDD+), pour ne citer que ceux là, la Convention a mis en place le Mécanisme de technologies climatiques qui a pour bras opérationnel le Centre et Réseau des Technologies Climatiques.
Par ailleurs, Partie à cette Convention depuis le 29 novembre 1994, la Côte d’Ivoire s’est résolument engagée dans le transfert de technologies qui est un canal de lutte contre les effets néfastes des changements climatiques.
« La problématique de la qualité de l’air est de plus en plus prise en compte dans les politiques nationales. Ainsi, le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable, dans le souci de mener des actions d’amélioration des conditions de vie des populations, a décidé de mettre en place un mécanisme de suivi de la qualité de l’air » s’est t-il exprimé.
Dans son intervention, Mr Libass Ba à souligné que Comme plusieurs pays l’ont déjà fait, la Côte d’Ivoire a répondu à la demande de cette instance internationale par la désignation officielle d’un Point Focal National sur les transferts de technologies depuis le mois de mai 2013.
Ce point focal a pour rôle de faciliter le soutien effectif du CRTC sur les soumissions nationales.
Rappelons qu’au terme de la mission, il est attendu les résultats qui suivent : Les acteurs sont mieux informés sur les enjeux des émissions de SLCP par rapport aux efforts d’atténuation aux changements climatiques et les facteurs d’exposition au niveau du District d’Abidjan sont davantage connus, les résultats de l’assistance technique sont présentés, la stratégie de mobilisation de ressources financières et logistiques pour la mise en œuvre de la stratégie du système MRV soit peaufinée davantage.
Atapointe