Songon – La troisième édition du Salon international des équipements et des technologies de transformation de l’anacarde (SIETTA 2018) se tient depuis jeudi à Abidjan, avec pour point central la problématique de la création d’emplois et d’autonomisation de la jeunesse africaine.
« La transformation du cajou est une véritable source de création d’emplois et d’autonomisation de la jeunesse africaine parce qu’elle est économiquement très rentable et créatrice d’emplois et de richesses, notamment pour les jeunes et les femmes », a indiqué jeudi, à l’ouverture, le commissaire général du Salon, Dr Adama Coulibaly.
Selon lui, des études montrent qu’une tonne de noix de cajou transformée localement peut ajouter une valeur moyenne de 650 dollars/ tonne au produit.
« Le cajou constitue l’un des produits dont il nous faut développer la transformation, eu égard à son potentiel de création de valeur ajoutée, d’emplois et de richesses et à son impact sur les autres secteurs industriels notamment celui des emballages, de la logistique, et du transport », a soutenu le vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan.
D'après des estimations, la transformation de 1 000 tonnes de noix brute de cajou peut générer entre 100 et 200 emplois en majorité destinés aux jeunes et aux femmes, a fait savoir M. Duncan.
Toutefois, a-t-il regretté, la faible industrialisation de la filière anacarde prive l’Afrique et la Côte d’Ivoire d’importantes valeurs ajoutées, en réduisant les opportunités de création d’emplois pour les jeunes et les femmes.
(AIP)
tg/cmas
« La transformation du cajou est une véritable source de création d’emplois et d’autonomisation de la jeunesse africaine parce qu’elle est économiquement très rentable et créatrice d’emplois et de richesses, notamment pour les jeunes et les femmes », a indiqué jeudi, à l’ouverture, le commissaire général du Salon, Dr Adama Coulibaly.
Selon lui, des études montrent qu’une tonne de noix de cajou transformée localement peut ajouter une valeur moyenne de 650 dollars/ tonne au produit.
« Le cajou constitue l’un des produits dont il nous faut développer la transformation, eu égard à son potentiel de création de valeur ajoutée, d’emplois et de richesses et à son impact sur les autres secteurs industriels notamment celui des emballages, de la logistique, et du transport », a soutenu le vice-président de la République de Côte d’Ivoire, Daniel Kablan Duncan.
D'après des estimations, la transformation de 1 000 tonnes de noix brute de cajou peut générer entre 100 et 200 emplois en majorité destinés aux jeunes et aux femmes, a fait savoir M. Duncan.
Toutefois, a-t-il regretté, la faible industrialisation de la filière anacarde prive l’Afrique et la Côte d’Ivoire d’importantes valeurs ajoutées, en réduisant les opportunités de création d’emplois pour les jeunes et les femmes.
(AIP)
tg/cmas