En Côte d’Ivoire les femmes sont sous représentées dans le corps des enseignants chercheurs scientifiques. Les femmes abandonnent les disciplines des sciences durant leur cursus scolaire ou durant la transition au monde du travail, selon le rapport international Unesco 2015.
Afin de pallier ce déficit, au cours des assises du Forum annuel des organismes africains de financement de la recherche scientifique, organisées à Abidjan par le PASRES (Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique) en synergie avec la NRF (National research foundation) d’Afrique du Sud, la journée du vendredi 09 novembre 2018, a abrité un symposium des femmes ayant pour thème : « Science, Recherche et Genre : quelle place pour la femme dans la recherche scientifique ? ». Une journée entièrement consacrée à la promotion des femmes dans le domaine des Sciences, de la Technologie et de l’Innovation (STI).
Cette journée de réflexion a eu pour but de promouvoir et encourager les femmes à intégrer le monde de la recherche scientifique, la technologie et de l’innovation.
En effet, à l’ouverture de ce symposium, Mme Akré, Directrice de la Recherche scientifique et de l’innovation, représentant le ministre ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a indiqué que le pourcentage des femmes dans la recherche scientifique et de l’innovation en Côte d’Ivoire est de 16,5%. Elle a relevé également que ce pourcentage dans d’autres pays comme la Guinée est de 6% ; Cap-Vert 52% ; 47% Tunisie ; 40% Afrique du sud et l’Ouganda, etc.
Ces disparités montrent clairement qu’il y a des efforts à faire dans certains pays pour que la femme soit plus représentative dans ce secteur. C’est pourquoi, elle a souhaité « la mise en place d’un programme tous les 5 ans pour la promotion de la femme chercheure dans nos différents pays africains».
Quant au Dr Sangaré Yaya, Secrétaire Exécutif du PASRES, les femmes constituent une population importante qui a un rôle majeur à jouer dans le secteur de la recherche scientifique et de l’innovation pour le développement économique des pays africains.
Pour sa part, le Prof Adohi, Présidente du comité scientifique du PASRES, estime que les femmes doivent prendre conscience qu’il y a des défis à relever pour améliorer la qualité de vie et la situation socioéconomique de leur pays, en s’impliquant énormément dans la recherche scientifique et l’innovation.
La conférence inaugurale qui a emboité le pas à ces allocutions, a permis d’ouvrir le bal a plusieurs communications et discussions qui ont meublé le programme de ce symposium des femmes scientifiques. Parmi celles-ci nous pouvons citer : « Politiques et stratégies d’intégration de la Femme dans les STI en Côte d’Ivoire », dont la conférencière a été Dr Binaté Namizata, du Ministère ivoirien de la Femme, de la Famille et de l’Enfant.
« Promouvoir l’égalité et le statut des femmes dans la recherche : les conseils subventionnaires de la science comme catalyseurs », présenté par Roshni Abedin du Royaume Uni ; « Participation des femmes à la science, à la technologie et à l’innovation : parcours et expériences », cette conférence a été dite par Dr Matutu Phetiwe, de la Fondation nationale pour la recherche (NRF) d’Afrique du Sud. « Place de la femme dans les STI au Mozambique », dont Dr Langa De Jesus Victoria, FNI Mozambique, a été l’auteur.
JOB
Afin de pallier ce déficit, au cours des assises du Forum annuel des organismes africains de financement de la recherche scientifique, organisées à Abidjan par le PASRES (Programme d’appui stratégique à la recherche scientifique) en synergie avec la NRF (National research foundation) d’Afrique du Sud, la journée du vendredi 09 novembre 2018, a abrité un symposium des femmes ayant pour thème : « Science, Recherche et Genre : quelle place pour la femme dans la recherche scientifique ? ». Une journée entièrement consacrée à la promotion des femmes dans le domaine des Sciences, de la Technologie et de l’Innovation (STI).
Cette journée de réflexion a eu pour but de promouvoir et encourager les femmes à intégrer le monde de la recherche scientifique, la technologie et de l’innovation.
En effet, à l’ouverture de ce symposium, Mme Akré, Directrice de la Recherche scientifique et de l’innovation, représentant le ministre ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, a indiqué que le pourcentage des femmes dans la recherche scientifique et de l’innovation en Côte d’Ivoire est de 16,5%. Elle a relevé également que ce pourcentage dans d’autres pays comme la Guinée est de 6% ; Cap-Vert 52% ; 47% Tunisie ; 40% Afrique du sud et l’Ouganda, etc.
Ces disparités montrent clairement qu’il y a des efforts à faire dans certains pays pour que la femme soit plus représentative dans ce secteur. C’est pourquoi, elle a souhaité « la mise en place d’un programme tous les 5 ans pour la promotion de la femme chercheure dans nos différents pays africains».
Quant au Dr Sangaré Yaya, Secrétaire Exécutif du PASRES, les femmes constituent une population importante qui a un rôle majeur à jouer dans le secteur de la recherche scientifique et de l’innovation pour le développement économique des pays africains.
Pour sa part, le Prof Adohi, Présidente du comité scientifique du PASRES, estime que les femmes doivent prendre conscience qu’il y a des défis à relever pour améliorer la qualité de vie et la situation socioéconomique de leur pays, en s’impliquant énormément dans la recherche scientifique et l’innovation.
La conférence inaugurale qui a emboité le pas à ces allocutions, a permis d’ouvrir le bal a plusieurs communications et discussions qui ont meublé le programme de ce symposium des femmes scientifiques. Parmi celles-ci nous pouvons citer : « Politiques et stratégies d’intégration de la Femme dans les STI en Côte d’Ivoire », dont la conférencière a été Dr Binaté Namizata, du Ministère ivoirien de la Femme, de la Famille et de l’Enfant.
« Promouvoir l’égalité et le statut des femmes dans la recherche : les conseils subventionnaires de la science comme catalyseurs », présenté par Roshni Abedin du Royaume Uni ; « Participation des femmes à la science, à la technologie et à l’innovation : parcours et expériences », cette conférence a été dite par Dr Matutu Phetiwe, de la Fondation nationale pour la recherche (NRF) d’Afrique du Sud. « Place de la femme dans les STI au Mozambique », dont Dr Langa De Jesus Victoria, FNI Mozambique, a été l’auteur.
JOB