La chefferie santé de la Marine nationale, en collaboration avec monsieur Essid Kais, directeur des laboratoires Pierre Fabre, a organisé ce vendredi 16 novembre 2018, un symposium sur la médicine navale devant toutes les sommités de santé militaires de Cote d’Ivoire.
Il s’agissait de créer une plateforme de réflexion et de concertation, sur les risques auxquels sont exposés les marins professionnels en milieux maritimes, lagunaires et même aquatiques, afin de mieux juguler les difficultés qui entravent leurs missions.
Lors de cette assise, le Contre-amiral Djakaridja Konaté, chef d’état major de la marine nationale a trouvé opportun de parfaire les conditions de travail du militaire marin surtout à bord des navires. Car selon le premier responsable de la Marine ivoirienne, un soldat qui n’est pas en bonne santé n’est point apte au combat.
Le mal de mer le plus connu des pathologies à bord des bateaux, est souvent un obstacle monumental qui entrave la réalisation de certaine mission des marins embarqués. Ce symposium est donc organisé pour faire l’état des lieux sur les traitements dont bénéficient les marins pendant leurs missions marines et sous-marines et leur état de santé lorsqu’ils retournent à la vie civile.
C’est pour cela, le colonel docteur Ouattara Seydou chef de la chefferie santé de la Marine nationale, a bien voulu organiser ce symposium pour recueillir les expertises médicales des différentes entités civiles et militaires nécessaires à améliorer les conditions de travail des marins à bord.
En effet comme objectifs attendus, ce symposium permettra la préservation de la santé au cours du travail maritime, l’évaluation des expositions professionnelles et prévention des risques professionnels maritimes, le suivi de leurs conséquences sur la santé des marins au cours de la carrière professionnelle, les études des postes et des organisations de travail sur les navires etc.
Par ailleurs, le docteur pharmacien Essid Kais chef des opérations de Pierre Fabre médicament, c’est voulu recommandant: « Il existe aujourd’hui divers médicaments efficaces ainsi que des traitements non médicamenteux contre le mal de mer et certains risques encourus à bord des bateaux. Malgré la facilité d’acquisition de tous ces médicaments pour venir à bout du mal de mer, un avis médical est toujours préférable à une automédication hasardeuse » a demandé l’invité spécial de la cérémonie.
P. R.
Il s’agissait de créer une plateforme de réflexion et de concertation, sur les risques auxquels sont exposés les marins professionnels en milieux maritimes, lagunaires et même aquatiques, afin de mieux juguler les difficultés qui entravent leurs missions.
Lors de cette assise, le Contre-amiral Djakaridja Konaté, chef d’état major de la marine nationale a trouvé opportun de parfaire les conditions de travail du militaire marin surtout à bord des navires. Car selon le premier responsable de la Marine ivoirienne, un soldat qui n’est pas en bonne santé n’est point apte au combat.
Le mal de mer le plus connu des pathologies à bord des bateaux, est souvent un obstacle monumental qui entrave la réalisation de certaine mission des marins embarqués. Ce symposium est donc organisé pour faire l’état des lieux sur les traitements dont bénéficient les marins pendant leurs missions marines et sous-marines et leur état de santé lorsqu’ils retournent à la vie civile.
C’est pour cela, le colonel docteur Ouattara Seydou chef de la chefferie santé de la Marine nationale, a bien voulu organiser ce symposium pour recueillir les expertises médicales des différentes entités civiles et militaires nécessaires à améliorer les conditions de travail des marins à bord.
En effet comme objectifs attendus, ce symposium permettra la préservation de la santé au cours du travail maritime, l’évaluation des expositions professionnelles et prévention des risques professionnels maritimes, le suivi de leurs conséquences sur la santé des marins au cours de la carrière professionnelle, les études des postes et des organisations de travail sur les navires etc.
Par ailleurs, le docteur pharmacien Essid Kais chef des opérations de Pierre Fabre médicament, c’est voulu recommandant: « Il existe aujourd’hui divers médicaments efficaces ainsi que des traitements non médicamenteux contre le mal de mer et certains risques encourus à bord des bateaux. Malgré la facilité d’acquisition de tous ces médicaments pour venir à bout du mal de mer, un avis médical est toujours préférable à une automédication hasardeuse » a demandé l’invité spécial de la cérémonie.
P. R.