Les agents touchés par le licenciement économique à Fraternité Matin le journal ivoirien de service public, « bénéficieront de traitements d'accompagnement », a assuré jeudi le porte-parole du gouvernement, Sidi Touré, à l’issue d’un Conseil des ministres.
« Les uns et les autres qui se retrouvent dans cette situation bénéficieront des différents traitements d’accompagnement qu’exigent une situation de licenciement économique », a dit Sidi Touré, face à des journalistes à la présidence.
« C’est avec beaucoup de pincements au cœur, mais nous sommes obligés de passer par là pour rendre la société viable afin qu'elle puisse exister après ces différentes mesures », a souligné le porte-parole du gouvernement ivoirien, également ministre de la communication et des médias.
Il a fait observer que « depuis plus de 10 ans », la Société nouvelle de presse et d’édition de Côte d'Ivoire (SNPECI), entreprise éditrice de Fraternité Matin « subit des contrecoups en termes d’organisation et des difficultés d’ordre opérationnel et financières ».
Le gouvernement voudrait partager sa « compassion à l’endroit de ces personnes qui sont touchées par cette mesure », a dit M. Touré, relevant qu' « il était important que l’Etat prenne toutes les dispositions à cet effet pour éviter que cette structure se retrouve en situation de faillite ».
En novembre 2017, l’Etat ivoirien a entériné une décision de restructuration et de redressement de de ce journal, articulée sur des aspects d’organisation opérationnelle et de la situation financière. Et ce, aux fins d’empêcher le spectre d’une faillite.
« C’est sur des critères justifiés et objectifs » que la mesure a été exécutée avec tous les acteurs aussi bien que les syndicats internes et l’inspection du travail, a indiqué Sidi Touré, soutenant que ce licenciement s’inscrit dans l’ordre normal d’une gestion d’une entreprise.
« Quand on est dépassé par les modèles économiques, l’ère du temps, il faut vous actualiser et cela fait souvent appel à des réductions de personnel et au niveau financier », a-t-il renchéri, faisant cas de La poste de Côte d'Ivoire et la RTI (télévision publique), qui après restructuration « se portent mieux ».
La Société nouvelle de presse et d'édition de Côte d'Ivoire (SNPECI), éditrice du quotidien pro-gouvernemental ivoirien, Fraternité Matin, a procédé, il y a quelques jours, au licenciement pour «motifs économiques » de 123 agents dont 11 journalistes.
AP/ls/APA
« Les uns et les autres qui se retrouvent dans cette situation bénéficieront des différents traitements d’accompagnement qu’exigent une situation de licenciement économique », a dit Sidi Touré, face à des journalistes à la présidence.
« C’est avec beaucoup de pincements au cœur, mais nous sommes obligés de passer par là pour rendre la société viable afin qu'elle puisse exister après ces différentes mesures », a souligné le porte-parole du gouvernement ivoirien, également ministre de la communication et des médias.
Il a fait observer que « depuis plus de 10 ans », la Société nouvelle de presse et d’édition de Côte d'Ivoire (SNPECI), entreprise éditrice de Fraternité Matin « subit des contrecoups en termes d’organisation et des difficultés d’ordre opérationnel et financières ».
Le gouvernement voudrait partager sa « compassion à l’endroit de ces personnes qui sont touchées par cette mesure », a dit M. Touré, relevant qu' « il était important que l’Etat prenne toutes les dispositions à cet effet pour éviter que cette structure se retrouve en situation de faillite ».
En novembre 2017, l’Etat ivoirien a entériné une décision de restructuration et de redressement de de ce journal, articulée sur des aspects d’organisation opérationnelle et de la situation financière. Et ce, aux fins d’empêcher le spectre d’une faillite.
« C’est sur des critères justifiés et objectifs » que la mesure a été exécutée avec tous les acteurs aussi bien que les syndicats internes et l’inspection du travail, a indiqué Sidi Touré, soutenant que ce licenciement s’inscrit dans l’ordre normal d’une gestion d’une entreprise.
« Quand on est dépassé par les modèles économiques, l’ère du temps, il faut vous actualiser et cela fait souvent appel à des réductions de personnel et au niveau financier », a-t-il renchéri, faisant cas de La poste de Côte d'Ivoire et la RTI (télévision publique), qui après restructuration « se portent mieux ».
La Société nouvelle de presse et d'édition de Côte d'Ivoire (SNPECI), éditrice du quotidien pro-gouvernemental ivoirien, Fraternité Matin, a procédé, il y a quelques jours, au licenciement pour «motifs économiques » de 123 agents dont 11 journalistes.
AP/ls/APA