Du 25 Novembre au 10 Décembre de chaque année, le monde entier consacre 16 jours à la campagne de l’activisme contre la violence sexiste, en l’occurrence celle faite aux femmes et aux filles.
Notre pays s’apprête à mener cette campagne qui vise à intensifier la sensibilisation contre les multiples formes de violences subies par les femmes et les enfants.
Le Gouvernement, à travers le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, lance cette 28ème édition, avec l’appui de tous ses partenaires nationaux et internationaux.
Au titre des dates symboliques de cette campagne de l’activime contre la violence sexiste, on peut citer :
§ la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le 25 Novembre ;
-la Journée internationale des Défenseurs des Droits de la Femme, le 29
novembre;
§ la Journée internationale des droits humains, le 10 Décembre.
Cette campagne constitue, à nouveau, une opportunité pour susciter l’implication de l’ensemble des acteurs nationaux et internationaux contre les Violences Basées sur le Genre.
En effet, la violence à l’égard des femmes et des enfants est une atteinte grave à leurs droits fondamentaux. Elle se mainifeste sous diverses formes, à savoir les mutilations génitales féminines, les mariages précoces, les violences sexuelles, les maltraitances psychologiques et émotionnelles.
En Côte d’Ivoire, selon les données de l’Enquête réalisées par l’Institut National de la Statistique en 2016 :
- Environ 37 de femmes sont excisées ;
- Deux Femmes sur 5 ont subi des violences physiques dès l’âge de 15 ans.
- 34% de femmes et 26% des hommes pensent q’un enfant a besoin d’etre physiquement puni.
Face à cette situation préoccupante, le Gouvernement a mené plusieurs actions.
Il sagit notamment :
- du renforcement des mécanismes de protection des femmes et des enfants à travers la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNLVBG)
- de la mise en place de plateformes multisectorielles de collaboration dans plusieurs régions du pays .
À ce titre, au nom du Gouvernement, j’adresse mes remerciements au Système des Nations Unies, aux ONG internationales et nationales, aux secteurs public et privé, pour leur appui constant.
Dans cette dynamique, le thème national retenu pour l’édition 2018 de la Campagne des 16 jours d’activisme est : « Violences exercées sur les enfants : agissons ensemble et maintenant pour y mettre fin ».
Durant cette 28ème édition, des actions de sensibilisation, de formation et des dialogues thématiques seront organisées sur l’ensemble du territoire.
J’en appelle donc à la solidarité et à la synergie de tous les acteurs autour de la politiques de l’État, en matière de prévention et de prise en charge des violences basées sur le genre.
Décideurs, autorités politiques, administratives et religieuses, organisations de la société civile, professionnels du monde de l’éducation, de la santé, de la communication, agissons ensemble et maintenant pour mettre fin aux violences à l’égard des femmes et des enfants. Il y va de l’avenir de la Côte d’Ivoire.
Je vous remercie.
BAKAYOKO-LY Ramata
Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant.
Notre pays s’apprête à mener cette campagne qui vise à intensifier la sensibilisation contre les multiples formes de violences subies par les femmes et les enfants.
Le Gouvernement, à travers le Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, lance cette 28ème édition, avec l’appui de tous ses partenaires nationaux et internationaux.
Au titre des dates symboliques de cette campagne de l’activime contre la violence sexiste, on peut citer :
§ la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le 25 Novembre ;
-la Journée internationale des Défenseurs des Droits de la Femme, le 29
novembre;
§ la Journée internationale des droits humains, le 10 Décembre.
Cette campagne constitue, à nouveau, une opportunité pour susciter l’implication de l’ensemble des acteurs nationaux et internationaux contre les Violences Basées sur le Genre.
En effet, la violence à l’égard des femmes et des enfants est une atteinte grave à leurs droits fondamentaux. Elle se mainifeste sous diverses formes, à savoir les mutilations génitales féminines, les mariages précoces, les violences sexuelles, les maltraitances psychologiques et émotionnelles.
En Côte d’Ivoire, selon les données de l’Enquête réalisées par l’Institut National de la Statistique en 2016 :
- Environ 37 de femmes sont excisées ;
- Deux Femmes sur 5 ont subi des violences physiques dès l’âge de 15 ans.
- 34% de femmes et 26% des hommes pensent q’un enfant a besoin d’etre physiquement puni.
Face à cette situation préoccupante, le Gouvernement a mené plusieurs actions.
Il sagit notamment :
- du renforcement des mécanismes de protection des femmes et des enfants à travers la stratégie nationale de lutte contre les violences basées sur le genre (SNLVBG)
- de la mise en place de plateformes multisectorielles de collaboration dans plusieurs régions du pays .
À ce titre, au nom du Gouvernement, j’adresse mes remerciements au Système des Nations Unies, aux ONG internationales et nationales, aux secteurs public et privé, pour leur appui constant.
Dans cette dynamique, le thème national retenu pour l’édition 2018 de la Campagne des 16 jours d’activisme est : « Violences exercées sur les enfants : agissons ensemble et maintenant pour y mettre fin ».
Durant cette 28ème édition, des actions de sensibilisation, de formation et des dialogues thématiques seront organisées sur l’ensemble du territoire.
J’en appelle donc à la solidarité et à la synergie de tous les acteurs autour de la politiques de l’État, en matière de prévention et de prise en charge des violences basées sur le genre.
Décideurs, autorités politiques, administratives et religieuses, organisations de la société civile, professionnels du monde de l’éducation, de la santé, de la communication, agissons ensemble et maintenant pour mettre fin aux violences à l’égard des femmes et des enfants. Il y va de l’avenir de la Côte d’Ivoire.
Je vous remercie.
BAKAYOKO-LY Ramata
Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant.