Abidjan (Côte d’Ivoire) - Les syndicats du secteur de la santé en Côte d'Ivoire regroupés au sein de le Coordination des centrales syndicales de la santé (Coordisante), ont décidé samedi de suspendre leurs grèves jusqu'en février 2019 aux fins de privilégier le dialogue avec l’Etat sur leurs revendications.
Il s’agit de « privilégier le dialogue et la finalisation des dossiers par le gouvernement », a confié à la presse le porte-parole de la Coordisante, Boko Kouaho, en marge d’une Assemblée générale de l’organisation syndicale au Centre hospitalier universitaire (Chu) de Yopougon, dans l’Ouest d’Abidjan.
Les différents syndicats de la Coordisante ont par conséquent « différé de deux mois » tout mouvement de grève, en attente d’une suite favorable de leurs revendications, qui se trouve actuellement sur la table du Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly.
La centrale syndicale envisage toutefois de marquer un autre arrêt de travail après sa « prochaine Assemblée générale prévue le 2 février 2019 ». Et ce, si le gouvernement ne prend pas en compte ses revendications portant essentiellement sur des questions financières.
La Coordisante, faîtière regroupant 12 syndicats, avait lancé du 5 au 9 novembre 2018 un mot d’ordre de grève pour revendiquer, entre autres, une prime d’incitation, des indemnités de logement et une revalorisation indiciaire.
AP/ls
Il s’agit de « privilégier le dialogue et la finalisation des dossiers par le gouvernement », a confié à la presse le porte-parole de la Coordisante, Boko Kouaho, en marge d’une Assemblée générale de l’organisation syndicale au Centre hospitalier universitaire (Chu) de Yopougon, dans l’Ouest d’Abidjan.
Les différents syndicats de la Coordisante ont par conséquent « différé de deux mois » tout mouvement de grève, en attente d’une suite favorable de leurs revendications, qui se trouve actuellement sur la table du Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly.
La centrale syndicale envisage toutefois de marquer un autre arrêt de travail après sa « prochaine Assemblée générale prévue le 2 février 2019 ». Et ce, si le gouvernement ne prend pas en compte ses revendications portant essentiellement sur des questions financières.
La Coordisante, faîtière regroupant 12 syndicats, avait lancé du 5 au 9 novembre 2018 un mot d’ordre de grève pour revendiquer, entre autres, une prime d’incitation, des indemnités de logement et une revalorisation indiciaire.
AP/ls