La Coalition secteur éducation/formation (COSEFCI) a décidé, samedi à l’issue d’une Assemblée générale tenue à Yopougon (Ouest d’Abidjan), d’un arrêt de travail de «quatre jours reconductibles de facto» à partir du 22 janvier 2019.
Ils sont venus des quatre coins du pays pour répondre à l’invitation de leurs dirigeants syndicaux pour «évaluer les acquis» de leur dernier mouvement de grève.
Selon le porte-parole de cette coalition des enseignants de l’enseignement général, technique et professionnel, Pacôme Attaby, qui a résumé les travaux de l’Assemblée générale à la presse, « le gouvernement ne se soucie pas de l’école ivoirienne sinon il aurait donné une suite favorable à nos revendications au lieu de brandir les menaces».
Ces revendications, a poursuivi M. Attaby, se résument en cinq points. «Il s’agit de la revalorisation des indemnités de logements des instituteurs et professeurs de l’enseignement général, technique et professionnel, de la suppression des cours de mercredi qui ont montré leurs limites, de la revalorisation des primes liées aux corrections des examens, des indemnités de surveillance et de la suppression de l’emploi des instituteurs recrutés avec le BEPC», a-t-il égrené.
Faute de quoi, la Coalition décide d’un arrêt de travail de «quatre jours reconductibles de facto le 22 janvier 2019». «Nous observerons cette grève jusqu’à satisfaction de nos revendications », a précisé le syndicaliste.
Outre cette décision, « l’Assemblée générale a adopté également la rétention des notes du premier trimestre à partir du 15 décembre 2018», a ajouté Pacôme Attaby, invitant « les enseignants membres de la Coalition à rester mobilisés et déterminés car seule la lutte paie».
HS/ls/APA
Ils sont venus des quatre coins du pays pour répondre à l’invitation de leurs dirigeants syndicaux pour «évaluer les acquis» de leur dernier mouvement de grève.
Selon le porte-parole de cette coalition des enseignants de l’enseignement général, technique et professionnel, Pacôme Attaby, qui a résumé les travaux de l’Assemblée générale à la presse, « le gouvernement ne se soucie pas de l’école ivoirienne sinon il aurait donné une suite favorable à nos revendications au lieu de brandir les menaces».
Ces revendications, a poursuivi M. Attaby, se résument en cinq points. «Il s’agit de la revalorisation des indemnités de logements des instituteurs et professeurs de l’enseignement général, technique et professionnel, de la suppression des cours de mercredi qui ont montré leurs limites, de la revalorisation des primes liées aux corrections des examens, des indemnités de surveillance et de la suppression de l’emploi des instituteurs recrutés avec le BEPC», a-t-il égrené.
Faute de quoi, la Coalition décide d’un arrêt de travail de «quatre jours reconductibles de facto le 22 janvier 2019». «Nous observerons cette grève jusqu’à satisfaction de nos revendications », a précisé le syndicaliste.
Outre cette décision, « l’Assemblée générale a adopté également la rétention des notes du premier trimestre à partir du 15 décembre 2018», a ajouté Pacôme Attaby, invitant « les enseignants membres de la Coalition à rester mobilisés et déterminés car seule la lutte paie».
HS/ls/APA