Yamoussoukro-L’Ecole nationale supérieure de statistiques et d’économie appliquée (ENSEA) a décidé de porter de 20 à 30 % le taux des filles estimant que le nombre de femmes inscrites dans les filières de statistique est bas.
Une équipe de l’ENSEA conduite par son chargé de communication, Pierre Gnébéhi, a rencontré mardi à l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, les étudiantes des séries scientifiques à l’INP-HB en vue de les sensibiliser et de les encourager à présenter le concours panafricain en statistique.
Le chef de la délégation de l’ENSEA a expliqué aux jeunes filles que le concours de l’ENSEA est sélectif et les diplômes sont recherchés et très important dans les domaines social et économique.
Créée en 1961, l’ENSEA a formé plus de 4 000 diplômés des pays africains avec une proportion de filles inférieure à 20 %.
« Ce taux est bas et nous voulons l’accroître à 30 % à l’horizon 2025 », a confié le ministre du plan et du développement, Kaba Nialé, dans une vidéo projetée lors de la séance de sensibilisation. Le ministre Kaba Nialé elle-même statisticienne de formation a indiqué que la décision est une volonté du gouvernement de réduire le déséquilibre.
Très peu de filles s’engagent dans la filière statistique par peur ou par manque d’information. Elle a rappelé le rôle important des statistiques « un outil transversal » et indispensable dans le développement d’une nation ». Le ministre du plan et du développement a également exhorté les jeunes filles à s’inscrire massivement aux différents concours de l’ENSEA prévus en janvier 2019 pour rehausser de « façon substantielle » le nombre de filles à l’ENSEA.
L’ENSEA a reçu le label de centre d’excellence régional de l’UEMOA en 2005.
nam/ask
Une équipe de l’ENSEA conduite par son chargé de communication, Pierre Gnébéhi, a rencontré mardi à l’institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, les étudiantes des séries scientifiques à l’INP-HB en vue de les sensibiliser et de les encourager à présenter le concours panafricain en statistique.
Le chef de la délégation de l’ENSEA a expliqué aux jeunes filles que le concours de l’ENSEA est sélectif et les diplômes sont recherchés et très important dans les domaines social et économique.
Créée en 1961, l’ENSEA a formé plus de 4 000 diplômés des pays africains avec une proportion de filles inférieure à 20 %.
« Ce taux est bas et nous voulons l’accroître à 30 % à l’horizon 2025 », a confié le ministre du plan et du développement, Kaba Nialé, dans une vidéo projetée lors de la séance de sensibilisation. Le ministre Kaba Nialé elle-même statisticienne de formation a indiqué que la décision est une volonté du gouvernement de réduire le déséquilibre.
Très peu de filles s’engagent dans la filière statistique par peur ou par manque d’information. Elle a rappelé le rôle important des statistiques « un outil transversal » et indispensable dans le développement d’une nation ». Le ministre du plan et du développement a également exhorté les jeunes filles à s’inscrire massivement aux différents concours de l’ENSEA prévus en janvier 2019 pour rehausser de « façon substantielle » le nombre de filles à l’ENSEA.
L’ENSEA a reçu le label de centre d’excellence régional de l’UEMOA en 2005.
nam/ask