Abidjan - Les experts de la médecine médico-légale, réunis au sein de la Société ivoirienne de Médecine légale et d’Investigations Judiciaires (SIMIJ), planchent, à la faveur de leur première journée scientifique, sur les méthodes efficientes de prise en charge des décès.
Ces assises visent, notamment, à connaître les préoccupations du droit face à la mort, reconnaître les signes permettant le diagnostic de la mort d’un individu et décrire la conduite du médecin face à une situation de personne arrivée décédée à l’hôpital, selon la responsable de la médecine légale de Côte d’Ivoire, Pr Hélène Yapo Etté.
Cette initiative doit donner au médecin, également, d’être capable de constater et de certifier un décès et de renseigner l’autorité sanitaire sur les causes de décès de la population, dans le respect de la dignité et des intérêts de la personne décédée, de sa famille et de la société, a indiqué Pr Yapo Etté, mercredi, à l’Institut national de formation des agents de santé (INFAS), sis à Treichville,.
Malgré la formation préalable reçue par ces médecins, l’obligation de faire des formations additionnelles continues s’impose, a indiqué Pr Hélène Yapo Etté. Car l’expertise ivoirienne est de notoriété.
« La Côte d’Ivoire est l’un des rares pays d’Afrique de l’Ouest à bénéficier de six médecins légistes », a révélé Pr Hélène Yapo Etté, pour qui la présence d’un médecin légiste pour l’examen des cas de décès doit être de rigueur. « Une clause doit être prise par le gouvernement pour attribuer un médecin légiste à chaque cas qui se présente », a-t-elle soutenu. .
Le rôle du policier scientifique, de l’enquêteur (OJP), dans la prise en charge du décès, la certification des décès, la prise en charge médico-légale des personnes « arrivées décédées » en milieu hospitalier ont été adressés à cette rencontre.
( AIP)
raz/nmfa/kam
Ces assises visent, notamment, à connaître les préoccupations du droit face à la mort, reconnaître les signes permettant le diagnostic de la mort d’un individu et décrire la conduite du médecin face à une situation de personne arrivée décédée à l’hôpital, selon la responsable de la médecine légale de Côte d’Ivoire, Pr Hélène Yapo Etté.
Cette initiative doit donner au médecin, également, d’être capable de constater et de certifier un décès et de renseigner l’autorité sanitaire sur les causes de décès de la population, dans le respect de la dignité et des intérêts de la personne décédée, de sa famille et de la société, a indiqué Pr Yapo Etté, mercredi, à l’Institut national de formation des agents de santé (INFAS), sis à Treichville,.
Malgré la formation préalable reçue par ces médecins, l’obligation de faire des formations additionnelles continues s’impose, a indiqué Pr Hélène Yapo Etté. Car l’expertise ivoirienne est de notoriété.
« La Côte d’Ivoire est l’un des rares pays d’Afrique de l’Ouest à bénéficier de six médecins légistes », a révélé Pr Hélène Yapo Etté, pour qui la présence d’un médecin légiste pour l’examen des cas de décès doit être de rigueur. « Une clause doit être prise par le gouvernement pour attribuer un médecin légiste à chaque cas qui se présente », a-t-elle soutenu. .
Le rôle du policier scientifique, de l’enquêteur (OJP), dans la prise en charge du décès, la certification des décès, la prise en charge médico-légale des personnes « arrivées décédées » en milieu hospitalier ont été adressés à cette rencontre.
( AIP)
raz/nmfa/kam
