Abidjan- L’association des préfets et représentants de l’Etat de la Francophonie (APREF) a ouvert, jeudi, à Abidjan, son tout premier forum pour des réflexions autour des nouveaux défis majeurs de la sécurité intérieure auxquels doivent faire face ces hauts commis de l’Etat.
Une quinzaine de personnalités composés d’hommes d’Etat, de juristes, de sociologues, de préfets, de policiers, à l’occasion, croisent leurs regards dans une approche interdisciplinaire autour de la problématique de la confrontation entre les principes de l’Etat de droit et les exigences de sécurité du citoyen.
Des réflexions sont spécifiquement menées sur la « gestion des frontières et crise migratoire », les « attaques terroristes et coordination des mesures de sécurité », la « gestion des manifestations hostiles et violentes », l’« organisation et sécurité des événements et rencontres internationales » de même que la sécurité en rapport avec le numérique.
Procédant à l’ouverture des travaux, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité a marqué la fierté et traduit la reconnaissance du gouvernement pour le choix de la Côte d’Ivoire par l’APREF pour la tenue de sa toute première grande rencontre. Il a fait part des grandes attentes placées par les autorités ivoiriennes en cette rencontre de réflexion de hauts commis, « maillons essentiels de l’Etat pour l’exécution de ses fonctions régaliennes », dans un contexte de mondialisation avec des défis notamment sécuritaires nouveaux.
Créée en novembre 2017 à Paris, en marge de la conférence interministérielle de la Francophonie, l’APREF se veut une plateforme de travail et d’échanges pour les hauts fonctionnaires locaux de l’Etat ayant en partage la langue française.
Elle répond à un besoin d’échanges qui n’existaient pas auparavant, en vue d’une mutualisation des expériences et des bonnes pratiques dans un souci pour les préfets et représentant de l’Etat de la Francophonie de dégager les meilleures stratégies pour mieux accomplir leur mission, a expliqué son président, l’Ivoirien Félicien Amani Ipou (directeur général de l’administration du territoire de Côte d’Ivoire), à l’ouverture du Forum.
L’APREF inscrit son action dans le sillage de l’Organisation internationale de la Francophonie. Le forum d’Abidjan est le premier événement qu’organise l’association depuis sa création. Une quinzaine de personnalités composés d’hommes d’Etat, de juristes, de sociologues, de préfets, de policiers, à l’occasion, croiseront leurs regards dans une approche interdisciplinaire autour de la problématique de la confrontation entre les principes de l’Etat de droit et les exigences de sécurité du citoyen.
Les travaux du forum de l’APREF prennent fin vendredi. La rencontre sera ponctuée samedi par un voyage touristique des participants sur Yamoussoukro.
kg/ask
Une quinzaine de personnalités composés d’hommes d’Etat, de juristes, de sociologues, de préfets, de policiers, à l’occasion, croisent leurs regards dans une approche interdisciplinaire autour de la problématique de la confrontation entre les principes de l’Etat de droit et les exigences de sécurité du citoyen.
Des réflexions sont spécifiquement menées sur la « gestion des frontières et crise migratoire », les « attaques terroristes et coordination des mesures de sécurité », la « gestion des manifestations hostiles et violentes », l’« organisation et sécurité des événements et rencontres internationales » de même que la sécurité en rapport avec le numérique.
Procédant à l’ouverture des travaux, le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Sidiki Diakité a marqué la fierté et traduit la reconnaissance du gouvernement pour le choix de la Côte d’Ivoire par l’APREF pour la tenue de sa toute première grande rencontre. Il a fait part des grandes attentes placées par les autorités ivoiriennes en cette rencontre de réflexion de hauts commis, « maillons essentiels de l’Etat pour l’exécution de ses fonctions régaliennes », dans un contexte de mondialisation avec des défis notamment sécuritaires nouveaux.
Créée en novembre 2017 à Paris, en marge de la conférence interministérielle de la Francophonie, l’APREF se veut une plateforme de travail et d’échanges pour les hauts fonctionnaires locaux de l’Etat ayant en partage la langue française.
Elle répond à un besoin d’échanges qui n’existaient pas auparavant, en vue d’une mutualisation des expériences et des bonnes pratiques dans un souci pour les préfets et représentant de l’Etat de la Francophonie de dégager les meilleures stratégies pour mieux accomplir leur mission, a expliqué son président, l’Ivoirien Félicien Amani Ipou (directeur général de l’administration du territoire de Côte d’Ivoire), à l’ouverture du Forum.
L’APREF inscrit son action dans le sillage de l’Organisation internationale de la Francophonie. Le forum d’Abidjan est le premier événement qu’organise l’association depuis sa création. Une quinzaine de personnalités composés d’hommes d’Etat, de juristes, de sociologues, de préfets, de policiers, à l’occasion, croiseront leurs regards dans une approche interdisciplinaire autour de la problématique de la confrontation entre les principes de l’Etat de droit et les exigences de sécurité du citoyen.
Les travaux du forum de l’APREF prennent fin vendredi. La rencontre sera ponctuée samedi par un voyage touristique des participants sur Yamoussoukro.
kg/ask