Abidjan- Le directeur général du laboratoire pharmaceutique Sanofi, Abderrahmane Chakibi a annoncé, vendredi lors de la signature d’un deuxième accord-cadre avec le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique (MSHP), l’érection de sept cliniques du diabète et de l’hypertension artérielle dans des centres d’excellence offrant un service amélioré aux patients.
M. Chakibi a également précisé que cet accord va s’accentuer autour de plusieurs axes de collaboration notamment l’amélioration de la sensibilisation, le dépistage et la prévention des maladies non transmissibles dont le diabète et l’hypertension artérielle, ainsi que l’éducation thérapeutique des patients.
Il va s’agit également selon lui, d’accompagner à partir de cette nouvelle convention, le développement des compétences scientifiques médicales des professionnels de santé sur le diabète et l’hypertension artérielle. Mais également de déconcentrer les centres de soins afin de proposer des soins au plus grand nombre de personnes et de vulgariser les directives de prise en charge et la politique nationale contre le diabète et l’hypertension artérielle.
«Nous assurons au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique notre engagement à les accompagner et à mettre en œuvre toute notre expertise durant la périodicité de ce présent accord de partenariat», a rassuré Abderrahmane Chakibi lors de la signature de la convention au cabinet à Abidjan-Plateau.
Directeur de cabinet au MSHP, Acka Joseph s’est félicité de la prorogation de cet accord indiquant que face aux défis de santé auxquels fait face la Côte d’Ivoire et l’accroissement de l’incidence du diabète et de l’hypertension artérielle, la mobilisation des acteurs publics et privés revêt une importance capitale.
En Côte d’Ivoire, le diabète et l’hypertension artérielle figurent parmi les axes prioritaires du programme de lutte contre les maladies métaboliques. Selon les données des enquêtes nationales réalisée en 2018, ces deux maladies sont en net accroissement avec une prévalence estimée à 39, 92% pour l’hypertension et 6, 16 pour le diabète.
bsb/kam
M. Chakibi a également précisé que cet accord va s’accentuer autour de plusieurs axes de collaboration notamment l’amélioration de la sensibilisation, le dépistage et la prévention des maladies non transmissibles dont le diabète et l’hypertension artérielle, ainsi que l’éducation thérapeutique des patients.
Il va s’agit également selon lui, d’accompagner à partir de cette nouvelle convention, le développement des compétences scientifiques médicales des professionnels de santé sur le diabète et l’hypertension artérielle. Mais également de déconcentrer les centres de soins afin de proposer des soins au plus grand nombre de personnes et de vulgariser les directives de prise en charge et la politique nationale contre le diabète et l’hypertension artérielle.
«Nous assurons au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique notre engagement à les accompagner et à mettre en œuvre toute notre expertise durant la périodicité de ce présent accord de partenariat», a rassuré Abderrahmane Chakibi lors de la signature de la convention au cabinet à Abidjan-Plateau.
Directeur de cabinet au MSHP, Acka Joseph s’est félicité de la prorogation de cet accord indiquant que face aux défis de santé auxquels fait face la Côte d’Ivoire et l’accroissement de l’incidence du diabète et de l’hypertension artérielle, la mobilisation des acteurs publics et privés revêt une importance capitale.
En Côte d’Ivoire, le diabète et l’hypertension artérielle figurent parmi les axes prioritaires du programme de lutte contre les maladies métaboliques. Selon les données des enquêtes nationales réalisée en 2018, ces deux maladies sont en net accroissement avec une prévalence estimée à 39, 92% pour l’hypertension et 6, 16 pour le diabète.
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