Abidjan- Le ministre de l’Economie et des finances, Adama Koné a expliqué jeudi devant les responsables du Fonds monétaire international (FMI) les effets de la redistribution des richesses en Côte d’Ivoire issue de la croissance économique.
Lors de la présentation du rapport sur les perspectives économiques régionales et la situation de la Côte d’Ivoire par le FMI à Abidjan, le ministre Adama Koné qui représentait le Premier ministre a relevé que pour l’année 2017, le taux de croissance de la Côte d’Ivoire était de 7,7%, une inflation maîtrisée à 0,7%, un déficit budgétaire estimé à 4,2% et un ratio dette de 42,7% du Pib là où la norme communautaire est de 70%.
Lors du panel auquel ont pris part deux responsables du Fmi (Desruelles et Gijon), Pierre Laporte de la Banque mondiale, Jean-Louis Menann-Kouamé, Directeur général de Bicici, le ministre de l’Economie et des Finances est revenu sur le caractère inclusif de la croissance ivoirienne.
« La croissance a permis deux millions d’emplois, booster les revenus des producteurs, les salaires des fonctionnaires ont bénéficié d’un déblocage», a affirmé Adama Koné.
Il a rappelé que les mesures fortes ont été prises par les autorités ivoiriennes au profit des populations à travers le volet ‘‘dépenses pro-pauvres’’ à savoir 1080,3 milliards FCFA en 2012, 2216,8 milliards FCFA en 2017, 2290,8 milliards FCFA en 2018.
En outre, l’école obligatoire et la distribution gratuite des kits scolaires, l’électrification des villages de plus de 500 habitants avec un taux de réalisation, les filets sociaux où 35 000 ménages bénéficient de 36 000 FCFA par trimestre sont des faits qui dénotent de cette distribution de la croissance à l’endroit des populations.
Le ministre s’est réjoui du choix porté sur la Côte d’Ivoire pour abriter cette présentation de rapport tout en promettant que le pays fera tout pour mettre en œuvre les recommandations issues de ce rapport pour gagner des points.
Le représentant résident du Fmi en Côte d’Ivoire José Gijon, tout en saluant les réformes engagées sous le président Alassane Ouattara, a relevé que la période « 2012 à 2017 a marqué la croissance la plus importante de l’histoire de la Côte d’Ivoire ».
Cela a été possible grâce à une bonne gouvernance, l’amélioration de la productivité, une participation beaucoup plus importante des investissements public et privé, les différents programmes et plans de développement etc.
Dominique Desruelles, directeur adjoint au département Afrique du Fmi s’est satisfait de la croissance soutenue de la Côte d’Ivoire et a encouragé les autorités ivoiriennes à poursuivre leurs efforts.
bsp/ask
Lors de la présentation du rapport sur les perspectives économiques régionales et la situation de la Côte d’Ivoire par le FMI à Abidjan, le ministre Adama Koné qui représentait le Premier ministre a relevé que pour l’année 2017, le taux de croissance de la Côte d’Ivoire était de 7,7%, une inflation maîtrisée à 0,7%, un déficit budgétaire estimé à 4,2% et un ratio dette de 42,7% du Pib là où la norme communautaire est de 70%.
Lors du panel auquel ont pris part deux responsables du Fmi (Desruelles et Gijon), Pierre Laporte de la Banque mondiale, Jean-Louis Menann-Kouamé, Directeur général de Bicici, le ministre de l’Economie et des Finances est revenu sur le caractère inclusif de la croissance ivoirienne.
« La croissance a permis deux millions d’emplois, booster les revenus des producteurs, les salaires des fonctionnaires ont bénéficié d’un déblocage», a affirmé Adama Koné.
Il a rappelé que les mesures fortes ont été prises par les autorités ivoiriennes au profit des populations à travers le volet ‘‘dépenses pro-pauvres’’ à savoir 1080,3 milliards FCFA en 2012, 2216,8 milliards FCFA en 2017, 2290,8 milliards FCFA en 2018.
En outre, l’école obligatoire et la distribution gratuite des kits scolaires, l’électrification des villages de plus de 500 habitants avec un taux de réalisation, les filets sociaux où 35 000 ménages bénéficient de 36 000 FCFA par trimestre sont des faits qui dénotent de cette distribution de la croissance à l’endroit des populations.
Le ministre s’est réjoui du choix porté sur la Côte d’Ivoire pour abriter cette présentation de rapport tout en promettant que le pays fera tout pour mettre en œuvre les recommandations issues de ce rapport pour gagner des points.
Le représentant résident du Fmi en Côte d’Ivoire José Gijon, tout en saluant les réformes engagées sous le président Alassane Ouattara, a relevé que la période « 2012 à 2017 a marqué la croissance la plus importante de l’histoire de la Côte d’Ivoire ».
Cela a été possible grâce à une bonne gouvernance, l’amélioration de la productivité, une participation beaucoup plus importante des investissements public et privé, les différents programmes et plans de développement etc.
Dominique Desruelles, directeur adjoint au département Afrique du Fmi s’est satisfait de la croissance soutenue de la Côte d’Ivoire et a encouragé les autorités ivoiriennes à poursuivre leurs efforts.
bsp/ask