Bondoukou - Le président exécutif du conseil régional du Gontougo, Kossonou Ignace, a présenté samedi le festival du Zanzan comme une vitrine d’ouverture de la région et de sa culture sur la Côte d’Ivoire et le monde.
Lors du lancement à Bondoukou (Nord-est ivoirien) de sa neuvième édition, Kossonou Ignace a indiqué que ce festival est l’expression du riche patrimoine culturel des régions du Gontougo et du Bounkani. Cette rencontre d’échanges et de partage, a-t-il ajouté, vise à promouvoir des danses, des instruments de musique et des costumes traditionnels du Zanzan ainsi que l’art culinaire dont font preuve les femmes et les jeunes filles du Nord-Est de la Côte d’Ivoire.
"La culture est un élément structurant de l’identification, de la connaissance et de la mémoire de tout peuple. C’est d’ailleurs pourquoi, elle doit être préservée, car un peuple sans culture est un peuple sans âme", a-t-il souligné, en présence du ministre Kobenan Kouassi Adjoumani, parrain du festival, et du représentant du ministre Maurice Kouakou Bandaman.
Le festival du Zanzan, d’une journée, a été marqué par une conférence publique, une exhibition des troupes de danses traditionnelles, des expositions des objets patrimoniaux, un défilé des acteurs en costumes traditionnels et une dégustation des mets locaux.
(AIP)
Zaar/kp
Lors du lancement à Bondoukou (Nord-est ivoirien) de sa neuvième édition, Kossonou Ignace a indiqué que ce festival est l’expression du riche patrimoine culturel des régions du Gontougo et du Bounkani. Cette rencontre d’échanges et de partage, a-t-il ajouté, vise à promouvoir des danses, des instruments de musique et des costumes traditionnels du Zanzan ainsi que l’art culinaire dont font preuve les femmes et les jeunes filles du Nord-Est de la Côte d’Ivoire.
"La culture est un élément structurant de l’identification, de la connaissance et de la mémoire de tout peuple. C’est d’ailleurs pourquoi, elle doit être préservée, car un peuple sans culture est un peuple sans âme", a-t-il souligné, en présence du ministre Kobenan Kouassi Adjoumani, parrain du festival, et du représentant du ministre Maurice Kouakou Bandaman.
Le festival du Zanzan, d’une journée, a été marqué par une conférence publique, une exhibition des troupes de danses traditionnelles, des expositions des objets patrimoniaux, un défilé des acteurs en costumes traditionnels et une dégustation des mets locaux.
(AIP)
Zaar/kp