Le secrétaire d’État auprès du Premier Ministre chargé de la promotion de l’investissement, Emmanuel Esmel Essis a déploré ce jeudi 10 Janvier 2018, à Grand Bassam, la faible participation des nationaux à la création de richesses.
Pour le secrétaire d’Etat, qui s’exprimait à l’ouverture de l’atelier d’information et de formation sur le nouveau code d’investissements, en termes de résultats, le code des investissements 2012, adopté à la fin de la crise post-électorale, a connu un bilan positif. Sur la période 2013-2018 dira t-il, il a permis d’atteindre les performances suivantes qui ont permis la création de 38.680 emplois permanents, l’agrément de 1.196 entreprises et l’attraction d’un volume d’investissement de 3.451 milliards FCFA.
Néanmoins, cinq grandes faiblesses ont été identifiées à la suite des travaux menés dans le cadre de la révision dudit code. « Une faible participation des nationaux à la création de richesses, une multiplicité des interlocuteurs des promoteurs d’entreprises, une faible contribution des PME à la formation du PIB, un faible taux de transformation dans les secteurs de l’agro-industrie et l’industrie et une faible répartition régionale du développement » a dévoilé Emmanuel Esmel Essis, par ailleurs Directeur Général du Centre de promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI)
« Aussi, en vue d’accroître les performances du code de 2012 et de cadrer avec les nouveaux défis de la Côte d’Ivoire émergente, tels que déclinés dans le PND 2016-2020, une révision dudit code était nécessaire » a-t-il indiqué.
Le secrétaire d’État a poursuivi son intervention en soulignant que le nouveau code d’investissement 2018 vise à favoriser l’entrepreneuriat national afin de rehausser le taux des investissements nationaux qui est évalué à environ 50% de l’ensemble des investissements captés en Côte d’Ivoire, en 2018.
Ce code d’investissement, ajouta-t-il, est un outil qui va servir aux entrepreneurs nationaux notamment aux jeunes pour monter leurs projets, et permettra une participation des nationaux dans le capital des entreprises.
Le nouveau code présente ainsi des innovations majeures en capitalisant les acquis du code d’investissement de 2012. Il prévoit une catégorisation des investissements, une redéfinition du zonage en tenant compte de critère de pôles économiques compétitifs avec trois zones, un mix des modes d’incitations, un renforcement des avantages en phase d’investissement, une amélioration des avantages en phase d’exploitation, un traitement plus favorable à l’égard des PME, une prise en compte du contenu locale, un suivi plus accru de la dépense fiscale.
Atapointe
Pour le secrétaire d’Etat, qui s’exprimait à l’ouverture de l’atelier d’information et de formation sur le nouveau code d’investissements, en termes de résultats, le code des investissements 2012, adopté à la fin de la crise post-électorale, a connu un bilan positif. Sur la période 2013-2018 dira t-il, il a permis d’atteindre les performances suivantes qui ont permis la création de 38.680 emplois permanents, l’agrément de 1.196 entreprises et l’attraction d’un volume d’investissement de 3.451 milliards FCFA.
Néanmoins, cinq grandes faiblesses ont été identifiées à la suite des travaux menés dans le cadre de la révision dudit code. « Une faible participation des nationaux à la création de richesses, une multiplicité des interlocuteurs des promoteurs d’entreprises, une faible contribution des PME à la formation du PIB, un faible taux de transformation dans les secteurs de l’agro-industrie et l’industrie et une faible répartition régionale du développement » a dévoilé Emmanuel Esmel Essis, par ailleurs Directeur Général du Centre de promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI)
« Aussi, en vue d’accroître les performances du code de 2012 et de cadrer avec les nouveaux défis de la Côte d’Ivoire émergente, tels que déclinés dans le PND 2016-2020, une révision dudit code était nécessaire » a-t-il indiqué.
Le secrétaire d’État a poursuivi son intervention en soulignant que le nouveau code d’investissement 2018 vise à favoriser l’entrepreneuriat national afin de rehausser le taux des investissements nationaux qui est évalué à environ 50% de l’ensemble des investissements captés en Côte d’Ivoire, en 2018.
Ce code d’investissement, ajouta-t-il, est un outil qui va servir aux entrepreneurs nationaux notamment aux jeunes pour monter leurs projets, et permettra une participation des nationaux dans le capital des entreprises.
Le nouveau code présente ainsi des innovations majeures en capitalisant les acquis du code d’investissement de 2012. Il prévoit une catégorisation des investissements, une redéfinition du zonage en tenant compte de critère de pôles économiques compétitifs avec trois zones, un mix des modes d’incitations, un renforcement des avantages en phase d’investissement, une amélioration des avantages en phase d’exploitation, un traitement plus favorable à l’égard des PME, une prise en compte du contenu locale, un suivi plus accru de la dépense fiscale.
Atapointe