Séguéla– Les machines à sous chinoises sont, depuis quelque temps, positionnées à plusieurs endroits de la ville de Séguéla (Centre-ouest, région du Worodougou), a constaté l’AIP, lundi, en ces lieux où les attroupements sont quasi-permanents.
Elèves, mécaniciens, enfants talibés et autres individus d’un certain acabit jouent ou assistent à des parties de jeu auxquelles participent des joueurs dont la quasi-totalité n’a pas la majorité.
« On gagne même », a répondu furtivement un joueur tandis qu’il opérait sa sélection pour miser sur ceux-ci, à la question de savoir si les gains étaient réels.
La mise minimale de 100 francs, avec en contrepartie des gains de 300 francs à plus de 2 000 francs, consiste à sélectionner des joueurs et à miser sur eux dans l’espoir de les voir tirés au sort, note-t-on.
« C’est un bon business parce que depuis que les gens sont venus déposer ça ici, on gagne un peu un peu », a confié le propriétaire d’un studio photos qui s’est converti en gérant de machine à sous, une affaire plus que juteuse puisqu’il engrange journellement 7 000 francs au minimum.
Selon lui, chaque joueur qui gagne une partie lui reverse 10 % de son gain. Ainsi de suite. Quant aux possesseurs des machines disséminées à travers la ville et qui drainent du monde jusque tard dans la nuit, ils passent les soirs les ouvrir pour récupérer la recette, a-t-on appris.
kkp/fmo
Elèves, mécaniciens, enfants talibés et autres individus d’un certain acabit jouent ou assistent à des parties de jeu auxquelles participent des joueurs dont la quasi-totalité n’a pas la majorité.
« On gagne même », a répondu furtivement un joueur tandis qu’il opérait sa sélection pour miser sur ceux-ci, à la question de savoir si les gains étaient réels.
La mise minimale de 100 francs, avec en contrepartie des gains de 300 francs à plus de 2 000 francs, consiste à sélectionner des joueurs et à miser sur eux dans l’espoir de les voir tirés au sort, note-t-on.
« C’est un bon business parce que depuis que les gens sont venus déposer ça ici, on gagne un peu un peu », a confié le propriétaire d’un studio photos qui s’est converti en gérant de machine à sous, une affaire plus que juteuse puisqu’il engrange journellement 7 000 francs au minimum.
Selon lui, chaque joueur qui gagne une partie lui reverse 10 % de son gain. Ainsi de suite. Quant aux possesseurs des machines disséminées à travers la ville et qui drainent du monde jusque tard dans la nuit, ils passent les soirs les ouvrir pour récupérer la recette, a-t-on appris.
kkp/fmo