Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’ex-Première dame ivoirienne Simone Ehivet Gbagbo se dit « dans la joie» et « attend le plus rapidement possible » son époux en Côte d'Ivoire après son acquittement par les juges de la Cour pénale internationale (CPI), dans un entretien avec la presse, lundi, au domicile du couple à Abidjan.
« Je l’attends ici le plus rapidement possible », a déclaré à la presse Simone Gbagbo, vêtue d’une robe pagne fleurie, assise dans un salon feutré à la résidence du couple à Cocody, dans l’Est de la capitale économique ivoirienne.
Elle a affirmé être dans « la joie » parce que c’est une décision qu'elle attendait depuis le début de son procès à la Haye, ajoutant avoir la « conviction que le président Gbagbo n’est pas coupable de tout ce dont on l’accusait ».
Pour elle, « aujourd'hui la vérité est proclamée par les juges eux-mêmes qui ont géré ce procès » après avoir interrogé 82 personnes dans le prétoire de la juridiction pénale internationale. Ce monsieur n’aurait jamais dû être arrêté ou être déporté à la CPI ».
« On lui rend justice en proclamant son acquittement et sa libération immédiate, moi je suis dans la joie, c’est horrible qu'il ait passé sept ans en prison, moi-même j’en sais et je sais ce qu'être en prison. Mais, encore j’étais ici, mais lui là-bas à la Haye dans ce pays froid et loin des siens, c’est méchant », a-t-elle ajouté.
En dépit de cette situation qui l’a éloigné de son époux, poursuivi pour crimes contre l’humanité lors des violences postelectorales de 2010-2011, Simone Gbagbo « rend gloire à Dieu » pour la libération immédiate prononcée de Laurent Gbagbo avec son co-accusé Charles Blé Goudé.
La résidence familiale ne finit pas d’accueillir du monde. Les militants de divers horizons y affluent parmi lesquels Michel Gbagbo, son fils, et des barons du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), parti fondé par l’ex-président ivoirien.
« Je dis merci aux Ivoiriens pour leur mobilisation », a réagi Michel Gbagbo, fils de l’ex-chef d’État ivoirien, vêtu d’un pantalon jean et d’un t-shirt blanc, qui s’est lâché comme un enfant criant de joie, embrassant les siens.
AP/ls
« Je l’attends ici le plus rapidement possible », a déclaré à la presse Simone Gbagbo, vêtue d’une robe pagne fleurie, assise dans un salon feutré à la résidence du couple à Cocody, dans l’Est de la capitale économique ivoirienne.
Elle a affirmé être dans « la joie » parce que c’est une décision qu'elle attendait depuis le début de son procès à la Haye, ajoutant avoir la « conviction que le président Gbagbo n’est pas coupable de tout ce dont on l’accusait ».
Pour elle, « aujourd'hui la vérité est proclamée par les juges eux-mêmes qui ont géré ce procès » après avoir interrogé 82 personnes dans le prétoire de la juridiction pénale internationale. Ce monsieur n’aurait jamais dû être arrêté ou être déporté à la CPI ».
« On lui rend justice en proclamant son acquittement et sa libération immédiate, moi je suis dans la joie, c’est horrible qu'il ait passé sept ans en prison, moi-même j’en sais et je sais ce qu'être en prison. Mais, encore j’étais ici, mais lui là-bas à la Haye dans ce pays froid et loin des siens, c’est méchant », a-t-elle ajouté.
En dépit de cette situation qui l’a éloigné de son époux, poursuivi pour crimes contre l’humanité lors des violences postelectorales de 2010-2011, Simone Gbagbo « rend gloire à Dieu » pour la libération immédiate prononcée de Laurent Gbagbo avec son co-accusé Charles Blé Goudé.
La résidence familiale ne finit pas d’accueillir du monde. Les militants de divers horizons y affluent parmi lesquels Michel Gbagbo, son fils, et des barons du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), parti fondé par l’ex-président ivoirien.
« Je dis merci aux Ivoiriens pour leur mobilisation », a réagi Michel Gbagbo, fils de l’ex-chef d’État ivoirien, vêtu d’un pantalon jean et d’un t-shirt blanc, qui s’est lâché comme un enfant criant de joie, embrassant les siens.
AP/ls