Le Congrès panafricain pour la justice et l'égalité des peuples (COJEP, parti de Blé Goudé) a salué, mardi, l'acquittement et la libération de son leader, Charles Blé Goudé et de l'ex-président Laurent Gbagbo comme « la victoire de la vérité et de la Côte d'Ivoire».
Réunie au domicile de Martial Yavo, un cadre de ce parti, la direction du COJEP conduite par le Premier secrétaire, Dr Hyacinthe Nogbou, a suivi de bout en bout l'audience du jour retransmise en direct par une chaine de télévision française.
Une explosion de joie accueille la décision du juge-président Cuno Tarfusser prononçant « l'acquittement et la libération immédiate» des accusés. Le maître des lieux, Martial Yavo, fait péter une bouteille de champagne, puis une deuxième. Des louages à « Dieu, le seul maitre du temps» fusent de partout. Dame Coulibaly, tombe dans les pommes. L'émotion est forte. Dix minutes plus tard, elle retrouve ses esprits et peut exécuter des pas de danses.
«Rendons gloire à Dieu qui est la vérité et qui a permis que la vérité éclore...pour que le président Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé soient acquittés», lâche Dr Nogbou.
Pour le premier responsable du COJEP, «cette libération n'est pas la victoire d'un camp sur un autre. Mais plutôt la victoire de la vérité, la victoire de la Côte d'Ivoire pour s'engager résolument sur la voie de la réconciliation ».
«Cette décision de la CPI démontre que les auteurs de la crise post-électorale sont ailleurs et que le pays a besoin de Gbagbo et Charles Blé Goudé pour la réconciliation », ajoute, pour sa part, Martial Yavo.
Pendant ce temps, la toile s'enflamme avec des réactions de personnalités et d'anonymes à l'image de l'ex-ministre Jean-Louis Billon, Porte-parole du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) dont "les premières pensées vont au président Gbagbo et à sa famille», tweette-t-il sur sa page officielle.
«C'est une étape importante vers la réconciliation nationale et la justice, un processus indispensable pour préparer la Côte d'Ivoire de demain», souligne M. Billon là où un internaute, Mays Mouissi, estime que « c'est un véritable camouflet pour Fatou Bensouda la procureure de la CPI qui a été incapable de réunir la moindre preuve de crime contre l'humanité en 10 ans d'instruction»
HS/ls/APA
Réunie au domicile de Martial Yavo, un cadre de ce parti, la direction du COJEP conduite par le Premier secrétaire, Dr Hyacinthe Nogbou, a suivi de bout en bout l'audience du jour retransmise en direct par une chaine de télévision française.
Une explosion de joie accueille la décision du juge-président Cuno Tarfusser prononçant « l'acquittement et la libération immédiate» des accusés. Le maître des lieux, Martial Yavo, fait péter une bouteille de champagne, puis une deuxième. Des louages à « Dieu, le seul maitre du temps» fusent de partout. Dame Coulibaly, tombe dans les pommes. L'émotion est forte. Dix minutes plus tard, elle retrouve ses esprits et peut exécuter des pas de danses.
«Rendons gloire à Dieu qui est la vérité et qui a permis que la vérité éclore...pour que le président Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé soient acquittés», lâche Dr Nogbou.
Pour le premier responsable du COJEP, «cette libération n'est pas la victoire d'un camp sur un autre. Mais plutôt la victoire de la vérité, la victoire de la Côte d'Ivoire pour s'engager résolument sur la voie de la réconciliation ».
«Cette décision de la CPI démontre que les auteurs de la crise post-électorale sont ailleurs et que le pays a besoin de Gbagbo et Charles Blé Goudé pour la réconciliation », ajoute, pour sa part, Martial Yavo.
Pendant ce temps, la toile s'enflamme avec des réactions de personnalités et d'anonymes à l'image de l'ex-ministre Jean-Louis Billon, Porte-parole du Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI) dont "les premières pensées vont au président Gbagbo et à sa famille», tweette-t-il sur sa page officielle.
«C'est une étape importante vers la réconciliation nationale et la justice, un processus indispensable pour préparer la Côte d'Ivoire de demain», souligne M. Billon là où un internaute, Mays Mouissi, estime que « c'est un véritable camouflet pour Fatou Bensouda la procureure de la CPI qui a été incapable de réunir la moindre preuve de crime contre l'humanité en 10 ans d'instruction»
HS/ls/APA