En meeting de clôture des travaux du pré-congrès à Dabou, le superviseur de la région des Grands ponts dans le cadre de l’organisation du congrès constitutif du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), Bruno Nabagné Koné a invité les populations à demeurer dans la cohésion et de surtout œuvrer pour le développement.
Il a demandé aux militants de rester focus sur le bilan et les grands travaux engagés par le président de la République. Pour l’émissaire du directoire du Rhdp dans les Grands Ponts, tous ceux qui se retrouvent dans l’héritage de paix et de développement de Félix Houphouët-Boigny, doivent continuer d’être ensemble. Et ce, pour permettre « à notre pays de continuer sa marche en avant dans la paix et la prospérité » a-t-il martelé.
« Ensemble, nous sommes plus forts. Notre force, c’est le bilan du président Alassane Ouattara et sa vision de paix et du développement que nous devons vulgariser. Travaillons au renforcement du développement et de la paix », a sensibilisé le ministre en charge de la Construction, Bruno Koné, appelant à une mobilisation « exceptionnelle » au congrès du 26 janvier prochain. « Le congrès marque le début de la préparation du parti pour affronter 2020. C’est un congrès très important pour le futur de la Côte d’Ivoire. Le directoire compte sur vous pour une mobilisation exceptionnelle des Grands ponts aux travaux du congrès pour montrer que cette région s’aligne sur la vision de paix et de développement du Rhdp », a galvanisé Bruno Koné, relevant qu’au regard de l’histoire politique de la Côte d’Ivoire, qui part de l’Indépendance à nos jours, trois grandes périodes se dégagent et justifient amplement la création du Rhdp. La première, rappelera-t-il, part de l’indépendance aux années 1990. Laquelle a été marquée par le parti unique, la paix relative, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens à travers la construction d’infrastructures (routes, hôpitaux, écoles, université, eau, électricité…). « C’était la période du “miracle ivoirien », instruisait-il.
La seconde période, selon lui, part des années 1990 à 2010. Elle correspond, à en croire Bruno Koné, à la période des grandes difficultés du pays, avec une recrudescence de la violence sous toutes ses formes, une crise économique et financière aiguë ponctuée de coup d’Etat, de rébellion et de guerres. « Ce fut la période la plus difficile qu’a connue le pays qui a un lien avec la division des enfants de Félix Houphouët-Boigny. La leçon qu’on en tire, c’est que quand les enfants d’Houphouët-Boigny sont ensemble, le pays va mieux », a argumenté le ministre Bruno Koné sous les vivats du public en phase avec lui. Concernant la dernière période allant de 2010 à ce jour, il a estimé qu’elle correspond à celle du « redécollage du pays ». « C’est la période de la fin des dissensions entre fils d’Houphouët-Boigny avec la construction de nouvelles infrastructures, le recul de la pauvreté, la hausse du taux de croissance, la création d’emplois, les victoires diplomatiques, le rayonnement culturel et l’attractivité du pays vis-à-vis des bailleurs et des hommes d’affaires », faisait-il remarquer, appelant de tous ses vœux à maintenir ce qui fait avancer la Côte d’Ivoire.
Bien avant, le secrétaire d’État à la promotion de l’investissement privé, Esmel Essis ainsi que le maire de Dabou, Yed Niagne et son collègue de Jacqueville, Joachin Beugré, se sont engagés à mobiliser les populations des Grands Ponts pour leur participation « exceptionnelle » au congrès du 26 janvier et une adhésion massive au Rhdp-parti unifié.
CK avec Sercom
Il a demandé aux militants de rester focus sur le bilan et les grands travaux engagés par le président de la République. Pour l’émissaire du directoire du Rhdp dans les Grands Ponts, tous ceux qui se retrouvent dans l’héritage de paix et de développement de Félix Houphouët-Boigny, doivent continuer d’être ensemble. Et ce, pour permettre « à notre pays de continuer sa marche en avant dans la paix et la prospérité » a-t-il martelé.
« Ensemble, nous sommes plus forts. Notre force, c’est le bilan du président Alassane Ouattara et sa vision de paix et du développement que nous devons vulgariser. Travaillons au renforcement du développement et de la paix », a sensibilisé le ministre en charge de la Construction, Bruno Koné, appelant à une mobilisation « exceptionnelle » au congrès du 26 janvier prochain. « Le congrès marque le début de la préparation du parti pour affronter 2020. C’est un congrès très important pour le futur de la Côte d’Ivoire. Le directoire compte sur vous pour une mobilisation exceptionnelle des Grands ponts aux travaux du congrès pour montrer que cette région s’aligne sur la vision de paix et de développement du Rhdp », a galvanisé Bruno Koné, relevant qu’au regard de l’histoire politique de la Côte d’Ivoire, qui part de l’Indépendance à nos jours, trois grandes périodes se dégagent et justifient amplement la création du Rhdp. La première, rappelera-t-il, part de l’indépendance aux années 1990. Laquelle a été marquée par le parti unique, la paix relative, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens à travers la construction d’infrastructures (routes, hôpitaux, écoles, université, eau, électricité…). « C’était la période du “miracle ivoirien », instruisait-il.
La seconde période, selon lui, part des années 1990 à 2010. Elle correspond, à en croire Bruno Koné, à la période des grandes difficultés du pays, avec une recrudescence de la violence sous toutes ses formes, une crise économique et financière aiguë ponctuée de coup d’Etat, de rébellion et de guerres. « Ce fut la période la plus difficile qu’a connue le pays qui a un lien avec la division des enfants de Félix Houphouët-Boigny. La leçon qu’on en tire, c’est que quand les enfants d’Houphouët-Boigny sont ensemble, le pays va mieux », a argumenté le ministre Bruno Koné sous les vivats du public en phase avec lui. Concernant la dernière période allant de 2010 à ce jour, il a estimé qu’elle correspond à celle du « redécollage du pays ». « C’est la période de la fin des dissensions entre fils d’Houphouët-Boigny avec la construction de nouvelles infrastructures, le recul de la pauvreté, la hausse du taux de croissance, la création d’emplois, les victoires diplomatiques, le rayonnement culturel et l’attractivité du pays vis-à-vis des bailleurs et des hommes d’affaires », faisait-il remarquer, appelant de tous ses vœux à maintenir ce qui fait avancer la Côte d’Ivoire.
Bien avant, le secrétaire d’État à la promotion de l’investissement privé, Esmel Essis ainsi que le maire de Dabou, Yed Niagne et son collègue de Jacqueville, Joachin Beugré, se sont engagés à mobiliser les populations des Grands Ponts pour leur participation « exceptionnelle » au congrès du 26 janvier et une adhésion massive au Rhdp-parti unifié.
CK avec Sercom