Divo, Un individu se livre depuis plusieurs mois à des viols couronnés d’assassinats dans le village de Brabodougou et ses environs (département de Divo), semant la peur au sein des populations.
A son actif, quatre femmes tuées en 2018 et une autre grièvement blessée en janvier 2019.
Selon une des victimes qui a pu échapper au délinquant, il s’agit d’un solide gaillard qui revendiquerait ses crimes.
« Elle allait couper des feuilles en brousse quand elle a été attaquée. L’individu, après lui avoir dit qu’il est le violeur en série, l’a menacée avec une machette », a expliqué le chef du village de Godiléhiri, Kobenan Akabla.
C’est grâce à son courage et surtout à son instinct de survie que la dame a réussi à éviter les rapports sexuels violents et non consentis couronnés de mort. Elle s’en est tirée toutefois avec une grosse entaille dans la paume.
« Vraiment ce ne sont pas des rumeurs, nos femmes sont dans des problèmes, ne pouvant plus se déplacer seules. Nous sommes vraiment peinés dans cette situation », a poursuivi le chef.
A Brabodougou, les femmes qui se rendent dans les champs et celles qui vont très tôt le matin puiser de l’eau pour leurs ménages vivent dans la psychose car le violeur peut frapper à tout moment. Elles ne se déplacent désormais que par petits groupes ou en compagnie de leurs hommes.
Le chef Kobenan Akabla a affirmé au micro de Radio Sud Bandama, la radio locale de Divo, avoir saisi les forces de l’ordre aux fins de débarrasser son village du fameux violeur.
(AIP)
gso/cmas
A son actif, quatre femmes tuées en 2018 et une autre grièvement blessée en janvier 2019.
Selon une des victimes qui a pu échapper au délinquant, il s’agit d’un solide gaillard qui revendiquerait ses crimes.
« Elle allait couper des feuilles en brousse quand elle a été attaquée. L’individu, après lui avoir dit qu’il est le violeur en série, l’a menacée avec une machette », a expliqué le chef du village de Godiléhiri, Kobenan Akabla.
C’est grâce à son courage et surtout à son instinct de survie que la dame a réussi à éviter les rapports sexuels violents et non consentis couronnés de mort. Elle s’en est tirée toutefois avec une grosse entaille dans la paume.
« Vraiment ce ne sont pas des rumeurs, nos femmes sont dans des problèmes, ne pouvant plus se déplacer seules. Nous sommes vraiment peinés dans cette situation », a poursuivi le chef.
A Brabodougou, les femmes qui se rendent dans les champs et celles qui vont très tôt le matin puiser de l’eau pour leurs ménages vivent dans la psychose car le violeur peut frapper à tout moment. Elles ne se déplacent désormais que par petits groupes ou en compagnie de leurs hommes.
Le chef Kobenan Akabla a affirmé au micro de Radio Sud Bandama, la radio locale de Divo, avoir saisi les forces de l’ordre aux fins de débarrasser son village du fameux violeur.
(AIP)
gso/cmas
