Bongouanou- La brigade de gendarmerie de Bongouanou a mis aux arrêts, samedi, deux individus qui, munis d'un fusil à canon scié ont dépossédé un commerçant de la somme de 2311000 FCFA et emporté une moto.
Les faits remontent à samedi dernier aux alentours de 16 h sur l'axe Broukro-Kayabo-Nguessankro où le camion d'un commerçant basé à Bongouanou et livrant dans les villages environnants a été braqué et la somme de 2311000 FCFA emportée par deux individus munis d'un fusil à canon scié.
Un motocycliste qui avait surgi dans ce périmètre avait été également braqué et sa moto arrachée. Celui-ci, aidé par les villageois ont alors alerté la gendarmerie de Bongouanou ainsi que leur détachement basé à N'guessankro.
Les deux individus ont ainsi été dénichés et arrêtés par les éléments du commandant Ouattara Adama de la brigade de Bongouanou. Soumis à un interrogatoire, ils ont cité leurs complices dont le chauffeur et l'apprenti du camion braqué.
" Nous ne pouvons que féliciter et remercier la gendarmerie pour ce coup de filet, car depuis un certain temps, nos véhicules ne peuvent plus rouler à certaines heures sans être escortés par la gendarmerie", s'est réjoui un responsable d'une compagnie de transport.
sa/ask
Les faits remontent à samedi dernier aux alentours de 16 h sur l'axe Broukro-Kayabo-Nguessankro où le camion d'un commerçant basé à Bongouanou et livrant dans les villages environnants a été braqué et la somme de 2311000 FCFA emportée par deux individus munis d'un fusil à canon scié.
Un motocycliste qui avait surgi dans ce périmètre avait été également braqué et sa moto arrachée. Celui-ci, aidé par les villageois ont alors alerté la gendarmerie de Bongouanou ainsi que leur détachement basé à N'guessankro.
Les deux individus ont ainsi été dénichés et arrêtés par les éléments du commandant Ouattara Adama de la brigade de Bongouanou. Soumis à un interrogatoire, ils ont cité leurs complices dont le chauffeur et l'apprenti du camion braqué.
" Nous ne pouvons que féliciter et remercier la gendarmerie pour ce coup de filet, car depuis un certain temps, nos véhicules ne peuvent plus rouler à certaines heures sans être escortés par la gendarmerie", s'est réjoui un responsable d'une compagnie de transport.
sa/ask