Quarante et six cadres d’administrations publiques et privées dont 32 Ivoiriens de la zone francophone d’Afrique de l’Ouest, ont reçu jeudi à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan leurs parchemins en Gestion de politiques économiques (GPE), lors d’une cérémonie de remise de diplômes aux auditeurs de la 18è promotion du programme GPE.
« L’essor du capital humain s’impose aujourd’hui comme le principal levier de la compétitivité de l’économie, de l’innovation et de l’amélioration du bien-être des populations », a relevé Yéo Nahoua, représentant du ministre ivoirien du Plan et du développement, qui a félicité les lauréats.
M. Nahoua, également directeur de Cabinet du ministère du Plan et du développement, a appelé les Etats africains à se doter de cadres compétents capables de concevoir, de mettre en œuvre, de suivre et d’évaluer les politiques économiques de leurs pays.
Dans ce contexte, il a été mis en place en Côte d’Ivoire la Direction du GPE-Abidjan, chargée d’assurer des formations destinées au renforcement des capacités des cadres des administrations publiques et privées.
Les programmes GPE ont connu leur début à l’université de Colombia aux États-Unis qui, jusqu’en 1994, était la seule université à donner ce type de formation destinée aux pays en développement. En Côte d’Ivoire, les modules de formation sont dispensés depuis deux décennies.
Quelque 700 experts venant de toute la zone francophone d’Afrique de l’Ouest y compris la Mauritanie et la Guinée-Bissau ont à ce jour bénéficié de ce programme. Au-delà de cette sphère géographique, le GPE-Abidjan est sollicité par le Tchad, le Burundi, le Gabon et le Cameroun.
« L’objectif est de former des personnes en activité de manière à rendre plus efficaces nos administrations», a fait observer Mama Ouattara, directeur du GPE-Abidjan, indiquant qu’il faut avoir au moins un BAC+4 puis avoir travaillé au moins pendant deux ans pour passer le test de recrutement.
La 18è promotion du Programme GPE-Abidjan qui comprend 46 auditeurs dont 32 Ivoiriens, trois Béninois et un Malien, a enregistré « 22 mentions bien ». Le major de la promotion est un Béninois. Il est suivi d’une Ivoirienne, Awa Coulibaly.
AP/ls/APA
« L’essor du capital humain s’impose aujourd’hui comme le principal levier de la compétitivité de l’économie, de l’innovation et de l’amélioration du bien-être des populations », a relevé Yéo Nahoua, représentant du ministre ivoirien du Plan et du développement, qui a félicité les lauréats.
M. Nahoua, également directeur de Cabinet du ministère du Plan et du développement, a appelé les Etats africains à se doter de cadres compétents capables de concevoir, de mettre en œuvre, de suivre et d’évaluer les politiques économiques de leurs pays.
Dans ce contexte, il a été mis en place en Côte d’Ivoire la Direction du GPE-Abidjan, chargée d’assurer des formations destinées au renforcement des capacités des cadres des administrations publiques et privées.
Les programmes GPE ont connu leur début à l’université de Colombia aux États-Unis qui, jusqu’en 1994, était la seule université à donner ce type de formation destinée aux pays en développement. En Côte d’Ivoire, les modules de formation sont dispensés depuis deux décennies.
Quelque 700 experts venant de toute la zone francophone d’Afrique de l’Ouest y compris la Mauritanie et la Guinée-Bissau ont à ce jour bénéficié de ce programme. Au-delà de cette sphère géographique, le GPE-Abidjan est sollicité par le Tchad, le Burundi, le Gabon et le Cameroun.
« L’objectif est de former des personnes en activité de manière à rendre plus efficaces nos administrations», a fait observer Mama Ouattara, directeur du GPE-Abidjan, indiquant qu’il faut avoir au moins un BAC+4 puis avoir travaillé au moins pendant deux ans pour passer le test de recrutement.
La 18è promotion du Programme GPE-Abidjan qui comprend 46 auditeurs dont 32 Ivoiriens, trois Béninois et un Malien, a enregistré « 22 mentions bien ». Le major de la promotion est un Béninois. Il est suivi d’une Ivoirienne, Awa Coulibaly.
AP/ls/APA