L’ex-président de l’Assemblée nationale, Guillaume soro a annoncé ce vendredi 15 février 2019 la création du Comité Politique (CP), dont il assure la direction, avec pour missions de mener des réflexions sur les grandes questions d’intérêt national.
Selon Mme Bonifon, porte parole du Comité Politique, le CP a également pour mission de proposer des instruments et des cadres de promotion de la démocratie, de consolidation de l’Etat de droit et de défendre les valeurs républicaines.
Sur la question de son avenir politique notamment s’il confirmait sa candidature pour la présidentielle de 2020, l’ex-président de l’Assemblée nationale a répondu qu’il s’en tenait à sa déclaration d’il y’a quelques jours, dans laquelle il affirmait qu’il ‘’quitte le tabouret pour aller chercher le fauteuil plus confortable’’. Contrairement aux propos du chef de l’Etat, Alassane Ouattara dans une interview au confrère de RFI, traitant Guillaume Soro de ‘’Marxiste’’, celui-ci a démenti. Affirmant : ’’Je ne suis pas marxiste, et le Comité politique n’est pas marxiste’’. Sur son appartenance à plusieurs partis et courants idéologiques depuis le début de sa carrière politique, le député Ferké a répondu ‘’qu’il ne faut pas confondre les alliances conjoncturelles et les convictions idéologiques des uns et des autres.
Alors qu’il a affirmé suite à sa démission de la tête du Parlement ivoirien, qu’il n’était plus astreint au droit de réserve, Guillaume Soro a expliqué l’avoir dit en vue de la création du Comité Politique. Indiquant qu’après avoir occupé des fonctions à un certain niveau de l’Etat, l’on ne peut révéler des secrets d’Etat.
S’agissant des dires d’un confrère étranger, affirmant que le régime en place avait décidé de soumettre l’ex-président de l’Assemblement national à un harcèlement notamment sur le plan fiscal , le député de Ferké a déclaré ‘’honnêtement’’ ne disposer d’aucun élément sur l’intention du régime. Il a affirmé avoir signé dans un groupe parlementaire en voie de création appelé ‘’le Rassemblement’’.
Soro n’exclut pas de rencontrer l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo récemment acquitté en première instance par la Cour pénale internationale (CPI), si celui-ci le désire. ‘’Ce sera sans hésitation que je le rencontrerai’’, a-t-il dit.
C’est le 8 février dernier que Guillaume Soro a démissionné de la tête du Parlement ivoirien, après qu’il a refusé de militer au sein du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), alliance présidentielle majoritaire dirigée par le président Alassane Ouattara.
Elisée B.
Selon Mme Bonifon, porte parole du Comité Politique, le CP a également pour mission de proposer des instruments et des cadres de promotion de la démocratie, de consolidation de l’Etat de droit et de défendre les valeurs républicaines.
Sur la question de son avenir politique notamment s’il confirmait sa candidature pour la présidentielle de 2020, l’ex-président de l’Assemblée nationale a répondu qu’il s’en tenait à sa déclaration d’il y’a quelques jours, dans laquelle il affirmait qu’il ‘’quitte le tabouret pour aller chercher le fauteuil plus confortable’’. Contrairement aux propos du chef de l’Etat, Alassane Ouattara dans une interview au confrère de RFI, traitant Guillaume Soro de ‘’Marxiste’’, celui-ci a démenti. Affirmant : ’’Je ne suis pas marxiste, et le Comité politique n’est pas marxiste’’. Sur son appartenance à plusieurs partis et courants idéologiques depuis le début de sa carrière politique, le député Ferké a répondu ‘’qu’il ne faut pas confondre les alliances conjoncturelles et les convictions idéologiques des uns et des autres.
Alors qu’il a affirmé suite à sa démission de la tête du Parlement ivoirien, qu’il n’était plus astreint au droit de réserve, Guillaume Soro a expliqué l’avoir dit en vue de la création du Comité Politique. Indiquant qu’après avoir occupé des fonctions à un certain niveau de l’Etat, l’on ne peut révéler des secrets d’Etat.
S’agissant des dires d’un confrère étranger, affirmant que le régime en place avait décidé de soumettre l’ex-président de l’Assemblement national à un harcèlement notamment sur le plan fiscal , le député de Ferké a déclaré ‘’honnêtement’’ ne disposer d’aucun élément sur l’intention du régime. Il a affirmé avoir signé dans un groupe parlementaire en voie de création appelé ‘’le Rassemblement’’.
Soro n’exclut pas de rencontrer l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo récemment acquitté en première instance par la Cour pénale internationale (CPI), si celui-ci le désire. ‘’Ce sera sans hésitation que je le rencontrerai’’, a-t-il dit.
C’est le 8 février dernier que Guillaume Soro a démissionné de la tête du Parlement ivoirien, après qu’il a refusé de militer au sein du Rassemblement des Houphouëtistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP), alliance présidentielle majoritaire dirigée par le président Alassane Ouattara.
Elisée B.