Abidjan- Lors du sommet de l'Union africaine (UA) à Addis-Abeba, en Éthiopie, Africa50, une plate-forme panafricaine d'investissement dans les infrastructures, a signé un protocole d'accord avec le gouvernement de la République du Congo pour structurer et mobiliser le financement nécessaire à l'expansion de la Centrale Électrique du Congo (CEC).
Le protocole a été signé lundi, rapporte un communiqué de presse d’Africa50 transmis vendredi à l’AIP. Le projet comprend l’extension de la capacité actuelle de cette centrale à turbine à gaz de 300 MW à 450 mégawatts à court terme, et à 900 mégawatts d’ici 2027.
En collaboration avec les actionnaires actuels de la centrale, Africa50 effectuera une revue des aspects techniques, financiers et juridiques, tout en utilisant son expertise en termes de développement de projet et de structuration financière, pour assurer la bancabilité du projet et le rendre prêt à l’investissement.
Ultérieurement, Africa50 pourrait investir dans le projet avec des partenaires, y compris d'autres institutions de financement du développement et des bailleurs de fonds du secteur privé.
S'exprimant lors d’une visite de courtoisie effectuée par le directeur général d’Africa50, Alain Ebobissé, le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a salué ses efforts pour contribuer au développement du Congo et s'est engagé à apporter son soutien total au projet.
Alain Ebobissé a pour sa part a réitéré l’engagement de son organisation à accroître la capacité de production d’électricité du Congo, par la mise en œuvre rapide et efficace de projets viables et durables dans ce secteur.
Cette signature intervient peu après la conclusion d'un protocole d'accord entre la République du Congo, la République Démocratique du Congo, Africa50 et la Banque africaine de développement (BAD) pour développer et financer un pont rail-route reliant Brazzaville et Kinshasa.
Africa50 est une plateforme d’investissement créée par les chefs d’États africains et la BAD, dont le mandat est de développer et d’investir dans des projets d’infrastructures à fort impact développemental, à travers la mobilisation de fonds publics et privés, tout en proposant un rendement attractif aux investisseurs. A ce jour, Africa50 compte 30 actionnaires, dont 27 pays africains, la BAD, Bank Al-Maghrib et la Banque des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), pour un capital engagé de plus de 870 millions de dollars US.
cmas
Le protocole a été signé lundi, rapporte un communiqué de presse d’Africa50 transmis vendredi à l’AIP. Le projet comprend l’extension de la capacité actuelle de cette centrale à turbine à gaz de 300 MW à 450 mégawatts à court terme, et à 900 mégawatts d’ici 2027.
En collaboration avec les actionnaires actuels de la centrale, Africa50 effectuera une revue des aspects techniques, financiers et juridiques, tout en utilisant son expertise en termes de développement de projet et de structuration financière, pour assurer la bancabilité du projet et le rendre prêt à l’investissement.
Ultérieurement, Africa50 pourrait investir dans le projet avec des partenaires, y compris d'autres institutions de financement du développement et des bailleurs de fonds du secteur privé.
S'exprimant lors d’une visite de courtoisie effectuée par le directeur général d’Africa50, Alain Ebobissé, le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a salué ses efforts pour contribuer au développement du Congo et s'est engagé à apporter son soutien total au projet.
Alain Ebobissé a pour sa part a réitéré l’engagement de son organisation à accroître la capacité de production d’électricité du Congo, par la mise en œuvre rapide et efficace de projets viables et durables dans ce secteur.
Cette signature intervient peu après la conclusion d'un protocole d'accord entre la République du Congo, la République Démocratique du Congo, Africa50 et la Banque africaine de développement (BAD) pour développer et financer un pont rail-route reliant Brazzaville et Kinshasa.
Africa50 est une plateforme d’investissement créée par les chefs d’États africains et la BAD, dont le mandat est de développer et d’investir dans des projets d’infrastructures à fort impact développemental, à travers la mobilisation de fonds publics et privés, tout en proposant un rendement attractif aux investisseurs. A ce jour, Africa50 compte 30 actionnaires, dont 27 pays africains, la BAD, Bank Al-Maghrib et la Banque des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), pour un capital engagé de plus de 870 millions de dollars US.
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