Yamoussoukro -Le ministre ivoirien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le Dr Toikeusse Mabri, a encouragé la conférence des recteurs et présidents d’universités francophones d’Afrique et de l’océan indien (CRUFAOCI) à apporter des solutions aux problèmes de massification, de gouvernance et de violences constatés sur les campus africains.
Selon le ministre, les universités africaines sont confrontées à des "défis émergents" que sont la massification, la détérioration de la qualité, la difficulté dans la gouvernance, le volume de violences sur les campus et la question de financement de l’enseignement et de la recherche scientifique.
"Si le numérique semble être une voie de sortie en ce qui concerne la massification dans nos universités, la question de la violence demeure jusque-là sans solution pérenne dans nos différents pays", a déploré lundi à Yamoussoukro le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique qui présidait l’assemblée générale de la CRUFAOCI.
Il a souligné que la violence entrave dans les universités africaines toutes les actions des gouvernements en faveur de la dispense du savoir et de la connaissance, piliers de la construction des sociétés modernes, capables d’impulser l’émergence.
"C’est donc une gouvernance plus adaptée, un mode de financement innovant et durable, mais aussi tous les outils de réforme qui peuvent conduire à l’amélioration de la qualité qui nous permettront de donner les moyens à nos universités, d’apporter la contribution qui est attendue d’elles par les gouvernements, mais aussi par les populations qui ont soif des pays qui avancent vers le progrès", a indiqué le ministre Toikeusse Mabri.
La Côte d’Ivoire abrite l’assemblée générale la CRUFAOCI couplée d’un atelier de formation sur le genre dans les universités francophones d’Afrique et de l’océan indien. Cette rencontre internationale des recteurs et présidents d'universités est organisée par l’université Jean-Lorougnon Guédé de Daloa qui assure la présidence de l’organisation. L’AG de la CRUFAOCI prend fin mercredi.
nam/kp
Selon le ministre, les universités africaines sont confrontées à des "défis émergents" que sont la massification, la détérioration de la qualité, la difficulté dans la gouvernance, le volume de violences sur les campus et la question de financement de l’enseignement et de la recherche scientifique.
"Si le numérique semble être une voie de sortie en ce qui concerne la massification dans nos universités, la question de la violence demeure jusque-là sans solution pérenne dans nos différents pays", a déploré lundi à Yamoussoukro le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique qui présidait l’assemblée générale de la CRUFAOCI.
Il a souligné que la violence entrave dans les universités africaines toutes les actions des gouvernements en faveur de la dispense du savoir et de la connaissance, piliers de la construction des sociétés modernes, capables d’impulser l’émergence.
"C’est donc une gouvernance plus adaptée, un mode de financement innovant et durable, mais aussi tous les outils de réforme qui peuvent conduire à l’amélioration de la qualité qui nous permettront de donner les moyens à nos universités, d’apporter la contribution qui est attendue d’elles par les gouvernements, mais aussi par les populations qui ont soif des pays qui avancent vers le progrès", a indiqué le ministre Toikeusse Mabri.
La Côte d’Ivoire abrite l’assemblée générale la CRUFAOCI couplée d’un atelier de formation sur le genre dans les universités francophones d’Afrique et de l’océan indien. Cette rencontre internationale des recteurs et présidents d'universités est organisée par l’université Jean-Lorougnon Guédé de Daloa qui assure la présidence de l’organisation. L’AG de la CRUFAOCI prend fin mercredi.
nam/kp