Dimbokro - La direction régionale des Infrastructures et de l’Equipement du N’zi a été cambriolée par des individus non identifiés, dans la nuit de mardi à mercredi, a appris l’AIP, mercredi, à Dimbokro.
Trois ordinateurs, un GPS, un appareil photo numérique et 350 000 FCFA ont été emportés.
Selon le directeur régional, Anoh Basile, les voleurs ont profité de la fine pluie qui s’est abattue sur la ville pour accéder à l’intérieur du bâtiment sans fracturer la porte d’entrée principale qui, pourtant est en fer. Une fois à l’intérieur, ils ont brisé les portes des bureaux notamment le service financier et le bureau du directeur, les mettant sens dessus-dessous avant de faire main basse sur tout le matériel sus-cité et quitter les lieux sans être inquiétés.
"Quand je suis arrivé ce matin vers 6 h 30, lorsque j’ai mis ma clé pour ouvrir la porte, j’ai constaté qu’elle l’était déjà. Je suis entré et j’ai vu les dégâts. J’ai aussitôt alerté la police", a expliqué Anoh Basile. Il a marqué son étonnement que la porte d’entrée ne soit pas cassée, précisant que le vigile et lui sont les seuls à détenir les clés. Il a affirmé avoir fermé la veille cette porte avant de quitter le dernier, les lieux.
Le commissaire de police Séry Bissouma qui s’est déporté en personne sur les lieux pour constater les dégâts, a mis aux arrêts deux individus dont le vigile qui soutient n’avoir pas vu de voleurs. Une enquête est ouverte.
ik/ask
Trois ordinateurs, un GPS, un appareil photo numérique et 350 000 FCFA ont été emportés.
Selon le directeur régional, Anoh Basile, les voleurs ont profité de la fine pluie qui s’est abattue sur la ville pour accéder à l’intérieur du bâtiment sans fracturer la porte d’entrée principale qui, pourtant est en fer. Une fois à l’intérieur, ils ont brisé les portes des bureaux notamment le service financier et le bureau du directeur, les mettant sens dessus-dessous avant de faire main basse sur tout le matériel sus-cité et quitter les lieux sans être inquiétés.
"Quand je suis arrivé ce matin vers 6 h 30, lorsque j’ai mis ma clé pour ouvrir la porte, j’ai constaté qu’elle l’était déjà. Je suis entré et j’ai vu les dégâts. J’ai aussitôt alerté la police", a expliqué Anoh Basile. Il a marqué son étonnement que la porte d’entrée ne soit pas cassée, précisant que le vigile et lui sont les seuls à détenir les clés. Il a affirmé avoir fermé la veille cette porte avant de quitter le dernier, les lieux.
Le commissaire de police Séry Bissouma qui s’est déporté en personne sur les lieux pour constater les dégâts, a mis aux arrêts deux individus dont le vigile qui soutient n’avoir pas vu de voleurs. Une enquête est ouverte.
ik/ask
