Les anciens de la Fesci ( Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’ivoire) réunis au sein d’une union dénommée Una-Fesci et dirigée par Ahipaud Martial, étaient hier à la résidence du Président du Pdci-Rda, Henri Konan Bédié.
Venus lui demander pardon, pour tous les actes désobligeants qu’ils ont posé à son encontre au moment où ils étaient étudiants, ces anciens de la Fesci ont obtenu le pardon du du " Sphinx de Daoukro ", et cela au nom de la réconciliation nationale, qu’il prône.
"J’ai écouté l’objet essentiel de votre déplacement ici, à savoir le pardon que vous demandez pour tous les actes de jeunesse que vous avez posé tout au long de l’existence de la FESCI jusqu’à votre relais par les nouveaux fescistes, ceux qui sont là actuellement, et aussi jusqu’à la création il y a sept ans, de la structure qui vous regroupe tous aujourd’hui.
C’est à mon tour au nom de tous les anciens hommes politiques qui sont de mon temps dont je suis devenu aujourd’hui le doyen, que j’accepte cette demande de pardon", leur a dit le président Bédié, après qu’ils aient donné les nouvelles de leur présence sur la terre de Daoukro.
Le président du Pdci - Rda d’ajouter :" Donc, vous êtes pardonnés au nom du peuple ivoirien au nom duquel je parle, puisque je parle de paix, de réconciliation.
La paix, la réconciliation, c’est, vous le savez bien, l’objectif que je continue de poursuivre jusqu’ici. C’est la raison pour laquelle vous avez entendu dire que je mets en place une plateforme de tous les fils et toutes les filles de la Côte d’Ivoire qui partagent une vision de paix, de réconciliation pour le développement de notre pays".
Dans ce sens, il les a invité à rejoindre cette plate forme et surtout à s’inscrire dans la dynamique de la réconciliation nationale.
"Quelque soit vos sensibilités politiques, vous êtes invités tous à vous inscrire dans cette dynamique de réconciliation et de paix », leur a t-il conseillé. Le président de l’Una-Fesci, Ahipeaud Joseph Martial, a dit au président Bédié que c’est vraiment avec une émotion particulière qu’ils sont venus vers lui parce qu’il représente ce qu’ils appellent les icônes de notre pays.
Et d’expliciter les raisons de la création de la Fesci : " Ceux qui ont créé ce mouvement au début des années 90, avaient une certaine vision de notre pays et estimaient qu’on devait entrer dans l’ère démocratique, comme cela se faisait un peu partout dans le monde.
Cette organisation a rencontré une espèce d’hostilité, parce que vous qui étiez aux affaires à cette époque avec le président Félix Houphouet Boigny, qui en tant que leader historique des indépendances de notre continent avait bâti une vision et était entrain de faire quelque chose d’exceptionnel dans l’Afrique moderne.
Et nous sommes venus comme des enfants intrépides mélanger tout" Puis, « Effectivement, M. le président, nous avons mesuré ce que nous avons fait et nous avons essayé de faire notre critique.
Et nous voyons effectivement à un moment donné que nous ne nous sommes pas bien comportés. Nous avons posé des actes qui ont eu des effets collatéraux.
Au nom de l’ensemble de tous ces anciens responsables, militants de base, sympathisants du mouvement qui avons posé des actes qui ont certainement blessé, créé des situations inopportunes, nous souhaitons, reconnaître leur tord en demandant pardon et de promettre qu’ils contribueront à la réconciliation nationale : " Au nom de cette organisation, nous demandons pardon.
Et nous voulons, en mettant en place l’union des anciens de la Fesci, effectivement contribuer à la réconciliation et à la cohésion nationale".
Avant lui, Kouadio Djué Eugène, ancien secrétaire général de la Fesci, a donné les premières nouvelles en indiquant que les anciens de la Fesci sont ceux qui ont fini avec l’université et qui sont dans la vie active, dans toutes les structures socioprofessionnelles.
Et de dire qu’ils sont venus également lui présenter la structure qu’ils ont mis sur pied.
Venus lui demander pardon, pour tous les actes désobligeants qu’ils ont posé à son encontre au moment où ils étaient étudiants, ces anciens de la Fesci ont obtenu le pardon du du " Sphinx de Daoukro ", et cela au nom de la réconciliation nationale, qu’il prône.
"J’ai écouté l’objet essentiel de votre déplacement ici, à savoir le pardon que vous demandez pour tous les actes de jeunesse que vous avez posé tout au long de l’existence de la FESCI jusqu’à votre relais par les nouveaux fescistes, ceux qui sont là actuellement, et aussi jusqu’à la création il y a sept ans, de la structure qui vous regroupe tous aujourd’hui.
C’est à mon tour au nom de tous les anciens hommes politiques qui sont de mon temps dont je suis devenu aujourd’hui le doyen, que j’accepte cette demande de pardon", leur a dit le président Bédié, après qu’ils aient donné les nouvelles de leur présence sur la terre de Daoukro.
Le président du Pdci - Rda d’ajouter :" Donc, vous êtes pardonnés au nom du peuple ivoirien au nom duquel je parle, puisque je parle de paix, de réconciliation.
La paix, la réconciliation, c’est, vous le savez bien, l’objectif que je continue de poursuivre jusqu’ici. C’est la raison pour laquelle vous avez entendu dire que je mets en place une plateforme de tous les fils et toutes les filles de la Côte d’Ivoire qui partagent une vision de paix, de réconciliation pour le développement de notre pays".
Dans ce sens, il les a invité à rejoindre cette plate forme et surtout à s’inscrire dans la dynamique de la réconciliation nationale.
"Quelque soit vos sensibilités politiques, vous êtes invités tous à vous inscrire dans cette dynamique de réconciliation et de paix », leur a t-il conseillé. Le président de l’Una-Fesci, Ahipeaud Joseph Martial, a dit au président Bédié que c’est vraiment avec une émotion particulière qu’ils sont venus vers lui parce qu’il représente ce qu’ils appellent les icônes de notre pays.
Et d’expliciter les raisons de la création de la Fesci : " Ceux qui ont créé ce mouvement au début des années 90, avaient une certaine vision de notre pays et estimaient qu’on devait entrer dans l’ère démocratique, comme cela se faisait un peu partout dans le monde.
Cette organisation a rencontré une espèce d’hostilité, parce que vous qui étiez aux affaires à cette époque avec le président Félix Houphouet Boigny, qui en tant que leader historique des indépendances de notre continent avait bâti une vision et était entrain de faire quelque chose d’exceptionnel dans l’Afrique moderne.
Et nous sommes venus comme des enfants intrépides mélanger tout" Puis, « Effectivement, M. le président, nous avons mesuré ce que nous avons fait et nous avons essayé de faire notre critique.
Et nous voyons effectivement à un moment donné que nous ne nous sommes pas bien comportés. Nous avons posé des actes qui ont eu des effets collatéraux.
Au nom de l’ensemble de tous ces anciens responsables, militants de base, sympathisants du mouvement qui avons posé des actes qui ont certainement blessé, créé des situations inopportunes, nous souhaitons, reconnaître leur tord en demandant pardon et de promettre qu’ils contribueront à la réconciliation nationale : " Au nom de cette organisation, nous demandons pardon.
Et nous voulons, en mettant en place l’union des anciens de la Fesci, effectivement contribuer à la réconciliation et à la cohésion nationale".
Avant lui, Kouadio Djué Eugène, ancien secrétaire général de la Fesci, a donné les premières nouvelles en indiquant que les anciens de la Fesci sont ceux qui ont fini avec l’université et qui sont dans la vie active, dans toutes les structures socioprofessionnelles.
Et de dire qu’ils sont venus également lui présenter la structure qu’ils ont mis sur pied.