Des enseignants de l’Université Félix Houphouët-Boigny, la plus grande de la Côte d’Ivoire, ont marché «pacifiquement » jeudi à Abidjan, pour protester contre l’arrestation et l’emprisonnement de deux enseignants de la Coordination nationale des enseignants-chercheurs ( CNEC) dont son secrétaire général, Johnson Kouassi.
Vêtus de leurs toges universitaires, ces enseignants brandissaient des écriteaux où l’on pouvait entre autres lire, «ne traînez pas l’Université dans la boue».
Deux enseignants de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan dont le secrétaire général de la CNEC, Johnson Kouassi, accusés d’avoir perturbé les cours dans cette université publique, ont été emprisonnés mardi soir à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).
Les deux syndicalistes, interpellés lundi dernier par la police sur le campus de l’Université Félix Houphouët-Boigny, ont été présentés au procureur avant d’être mis sous mandat de dépôt, confiait à APA, Ehui Bédikou, un responsable de la CNEC, soulignant que ses deux camarades ont été inculpés pour « troubles à l’ordre public, séquestration, menaces et injures».
La CNEC, un syndicat de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan a lancé depuis le 04 février dernier une grève d’un an équivalent à la suspension de deux enseignants-chercheurs et pour exiger l’annulation des sanctions encourues.
LB/ls/APA
Vêtus de leurs toges universitaires, ces enseignants brandissaient des écriteaux où l’on pouvait entre autres lire, «ne traînez pas l’Université dans la boue».
Deux enseignants de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan dont le secrétaire général de la CNEC, Johnson Kouassi, accusés d’avoir perturbé les cours dans cette université publique, ont été emprisonnés mardi soir à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA).
Les deux syndicalistes, interpellés lundi dernier par la police sur le campus de l’Université Félix Houphouët-Boigny, ont été présentés au procureur avant d’être mis sous mandat de dépôt, confiait à APA, Ehui Bédikou, un responsable de la CNEC, soulignant que ses deux camarades ont été inculpés pour « troubles à l’ordre public, séquestration, menaces et injures».
La CNEC, un syndicat de l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan a lancé depuis le 04 février dernier une grève d’un an équivalent à la suspension de deux enseignants-chercheurs et pour exiger l’annulation des sanctions encourues.
LB/ls/APA