Abidjan, Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan, a condamné la vague d’arrestations de leaders syndicaux opérées notamment dans le corps des professeurs de l’enseignement supérieur.
Samedi, à l’occasion de la cérémonie de présentation de vœux du nouvel an à son domicile à Cocody-M’Badon, Affi N’Guessan a demandé aux autorités nationales leur libération immédiate et sans conditions.
"J’assure tous les enseignants, victimes de violation flagrante de leurs droits fondamentaux et de brimades indignes et injustifiées, de la solidarité́ et du soutien sans faille du Front populaire ivoirien", a déclaré Affi N’Guessan.
Le président du FPI a appelé au sens de la responsabilité́ du gouvernement, l’invitant "à créer les conditions de la paix dans le système éducatif", en rapportant toutes les décisions de suspension et de révocation visant les leaders syndicaux et en privilégiant le dialogue avec les acteurs du système éducatif en vue de trouver des solutions urgentes à leurs revendications.
La gravité de la situation commande "d’assainir le portefeuille des interventions gouvernementales pour dégager les ressources budgétaires nécessaires pour faire face aux besoins urgents de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur, a ajouté Affi N’Guessan.
La crise qui secoue l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, a conduit à l’arrestation du secrétaire général de la Coordination nationale des enseignants chercheurs (CNEC), Johnson Kouassi Zamina, et de son collègue, Joël Dade, rappelle-t-on.
(AIP)
Gak/kp
Samedi, à l’occasion de la cérémonie de présentation de vœux du nouvel an à son domicile à Cocody-M’Badon, Affi N’Guessan a demandé aux autorités nationales leur libération immédiate et sans conditions.
"J’assure tous les enseignants, victimes de violation flagrante de leurs droits fondamentaux et de brimades indignes et injustifiées, de la solidarité́ et du soutien sans faille du Front populaire ivoirien", a déclaré Affi N’Guessan.
Le président du FPI a appelé au sens de la responsabilité́ du gouvernement, l’invitant "à créer les conditions de la paix dans le système éducatif", en rapportant toutes les décisions de suspension et de révocation visant les leaders syndicaux et en privilégiant le dialogue avec les acteurs du système éducatif en vue de trouver des solutions urgentes à leurs revendications.
La gravité de la situation commande "d’assainir le portefeuille des interventions gouvernementales pour dégager les ressources budgétaires nécessaires pour faire face aux besoins urgents de l’Education nationale et de l’enseignement supérieur, a ajouté Affi N’Guessan.
La crise qui secoue l’université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, a conduit à l’arrestation du secrétaire général de la Coordination nationale des enseignants chercheurs (CNEC), Johnson Kouassi Zamina, et de son collègue, Joël Dade, rappelle-t-on.
(AIP)
Gak/kp