L’opposition ivoirienne, réunie vendredi au siège du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir), a appelé à une «large concertation pour une réforme profonde de la CEI (Commission électorale indépendante) », lors d’une Assemblée plénière.
L’opposition veut « un cadre de concertation élargi impliquant tous les partis politiques sans exclusive, la société civile et le gouvernement », indique le communiqué final de l’Assemblée plénière des partis lu par Narcisse N’dri, un cadre du Pdci.
L’objectif de la mise en place de ce cadre élargi de concertation devrait permettre de parvenir à « une réforme consensuelle et profonde de la CEI », institution en charge de l’organisation des élections en Côte d’Ivoire. Pour l’opposition elle doit être transparente et crédible.
Dans cette perspective, l’opposition a appelé à des discussions sur l’établissement des cartes nationales d’identité (CNI), le recensement électoral, la révision du code électoral pour l’adapter à la Constitution et le cadre institutionnel relatif aux élections en Côte d’Ivoire.
Le président du Pdci, Henri Konan Bédié a fait savoir que ce «pas» de l’opposition «conduira à mettre en place dqns les prochains jours un cadre permament de concertation nationale» en vue de promouvoir une « plate-forme de collaboration » pour établir un un nouveau pacte social avec les Ivoiriens.
Du 21 au 23 janvier 2019, le Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly, a reçu les partis et groupements politiques ainsi que les organisations de la société civile. Au cours de ces consultations, il a indiqué que le gouvernement est « disposé pour une réforme de la récomposition de la CEI ».
Saisie par des organisations de défense des droits de l’homme, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, a ordonné en novembre 2016 à l’Etat de Côte d’Ivoire de réformer la loi 2014-335 du 16 juin 2014 portant composition, organisation, attribution et fonctionnement de la CEI.
Parmi les personnalités de l’opposition présentes, figuraient le président statutaire du Front populaire ivoirien (Fpi), le parti de Laurent Gbagbo, Bonie Claverie, Bamba Moriféré, Aka Ahizi, Félicien Sékongo, Kabran Appiah.
AP/ls/APA
L’opposition veut « un cadre de concertation élargi impliquant tous les partis politiques sans exclusive, la société civile et le gouvernement », indique le communiqué final de l’Assemblée plénière des partis lu par Narcisse N’dri, un cadre du Pdci.
L’objectif de la mise en place de ce cadre élargi de concertation devrait permettre de parvenir à « une réforme consensuelle et profonde de la CEI », institution en charge de l’organisation des élections en Côte d’Ivoire. Pour l’opposition elle doit être transparente et crédible.
Dans cette perspective, l’opposition a appelé à des discussions sur l’établissement des cartes nationales d’identité (CNI), le recensement électoral, la révision du code électoral pour l’adapter à la Constitution et le cadre institutionnel relatif aux élections en Côte d’Ivoire.
Le président du Pdci, Henri Konan Bédié a fait savoir que ce «pas» de l’opposition «conduira à mettre en place dqns les prochains jours un cadre permament de concertation nationale» en vue de promouvoir une « plate-forme de collaboration » pour établir un un nouveau pacte social avec les Ivoiriens.
Du 21 au 23 janvier 2019, le Premier ministre ivoirien Amadou Gon Coulibaly, a reçu les partis et groupements politiques ainsi que les organisations de la société civile. Au cours de ces consultations, il a indiqué que le gouvernement est « disposé pour une réforme de la récomposition de la CEI ».
Saisie par des organisations de défense des droits de l’homme, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, a ordonné en novembre 2016 à l’Etat de Côte d’Ivoire de réformer la loi 2014-335 du 16 juin 2014 portant composition, organisation, attribution et fonctionnement de la CEI.
Parmi les personnalités de l’opposition présentes, figuraient le président statutaire du Front populaire ivoirien (Fpi), le parti de Laurent Gbagbo, Bonie Claverie, Bamba Moriféré, Aka Ahizi, Félicien Sékongo, Kabran Appiah.
AP/ls/APA