Abidjan (Côte d’Ivoire) - La Coordination nationale des enseignants et chercheurs du supérieur de Côte d'Ivoire (CNEC) a décidé vendredi à l’issue d’une Assemblée générale de reprendre les cours lundi, après la libération de deux leaders du syndicat.
L’Assemblée générale de la CNEC a décidé de la suspension du mot d’ordre de l’organisation syndicale pour une période de deux semaines. Et ce, afin d’observer si les choses iront bon train relativement aux revendications, selon Michaël Bedikou, un responsable syndical.
Dans une déclaration, la CNEC a annoncé la libération de deux de ses leaders, notamment Johnson Kouassi Zamina, le secrétaire général et Joël Dade, premier secrétaire général adjoint, et la reprise des cours dès lundi. La relaxe a eu lieu vers 21h Gmt et heure locale.
« Que l’école reprenne le lundi 4 mars 2019 à 07h00 Gmt. C’est le lieu de présenter nos excuses à la Nation toute entière pour les désagréments que cette situation d’arrêt de travail a dû causer à chacun de nos cotiyens », indique la déclaration.
La CNEC est « prête à saisir la main tendue du gouvernement et à l’accompagner dans le dialogue pour débattre sereinement » de toutes ses préoccupations et revendications, poursuit la déclaration, faite au terme d’un échange entre la tutelle et le syndicat.
L’organisation syndicale, basée à l’Université Félix Houphouët-Boigny, la plus grande du pays, avait engagé depuis le 4 février 2019 une grève de un an équivalent à la durée de suspension de deux de leur collègue, et pour exiger l’annulation des sanctions encourues.
Du côté de l’école où les cours étaient également paralysés depuis un mois, les responsables syndicaux ont eu une rencontre vendredi avec le ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique, assisté par celui de la Fonction publique et de l’Enseignement supérieur.
Il a été, à cette occasion, mis en place un cadre de concertation en vue d’adresser les revendications des syndicats grévistes. A la suite de la demande du gouvernement de suspendre leur mot d’ordre de grève, les syndicats ont convoqué samedi une Assemblée générale à l’effet de s’y prononcer.
AP/ls
L’Assemblée générale de la CNEC a décidé de la suspension du mot d’ordre de l’organisation syndicale pour une période de deux semaines. Et ce, afin d’observer si les choses iront bon train relativement aux revendications, selon Michaël Bedikou, un responsable syndical.
Dans une déclaration, la CNEC a annoncé la libération de deux de ses leaders, notamment Johnson Kouassi Zamina, le secrétaire général et Joël Dade, premier secrétaire général adjoint, et la reprise des cours dès lundi. La relaxe a eu lieu vers 21h Gmt et heure locale.
« Que l’école reprenne le lundi 4 mars 2019 à 07h00 Gmt. C’est le lieu de présenter nos excuses à la Nation toute entière pour les désagréments que cette situation d’arrêt de travail a dû causer à chacun de nos cotiyens », indique la déclaration.
La CNEC est « prête à saisir la main tendue du gouvernement et à l’accompagner dans le dialogue pour débattre sereinement » de toutes ses préoccupations et revendications, poursuit la déclaration, faite au terme d’un échange entre la tutelle et le syndicat.
L’organisation syndicale, basée à l’Université Félix Houphouët-Boigny, la plus grande du pays, avait engagé depuis le 4 février 2019 une grève de un an équivalent à la durée de suspension de deux de leur collègue, et pour exiger l’annulation des sanctions encourues.
Du côté de l’école où les cours étaient également paralysés depuis un mois, les responsables syndicaux ont eu une rencontre vendredi avec le ministre de l’Education nationale et de l’enseignement technique, assisté par celui de la Fonction publique et de l’Enseignement supérieur.
Il a été, à cette occasion, mis en place un cadre de concertation en vue d’adresser les revendications des syndicats grévistes. A la suite de la demande du gouvernement de suspendre leur mot d’ordre de grève, les syndicats ont convoqué samedi une Assemblée générale à l’effet de s’y prononcer.
AP/ls