Yamoussoukro - Les portes établissements du primaire publics sont restées fermées, lundi, à Yamoussoukro, malgré la levée du mot d’ordre de grève annoncée par le porte-parole de l’Intersyndicale de l’enseignement préscolaire et primaire de Côte d’Ivoire (ISEPPCI), David Bli Blé, dimanche soir, sur les antennes de la télévision ivoirienne.
Les enseignants invités à reprendre les cours ont brillé par les absences partout lors de notre passage dans les établissements primaires.
Au groupe scolaire N’Gokro, une institutrice de la classe de CE2 « venue mettre de l’ordre dans son bureau » a confirmé l’absence des instituteurs depuis l’entame de la grève.
Dans le secondaire, les cours ont certes repris, mais timidement, avec l’absence de certains professeurs qui ont préféré rester à la maison. « Nous voulons voir un peu plus clair et avoir des garanties avant toute reprise », a justifié un enseignant rencontré aux abords du lycée mixte de Yamoussoukro.
Le secteur de l’éducation-formation est secoué depuis plusieurs semaines par une grève des enseignants qui revendiquent entre autres la revalorisation des indemnités de logement des enseignants du préscolaires, du primaire et du secondaire, la suppression des cours de mercredi dans le primaire, le relèvement au double de toutes les primes liées aux examens scolaires.
nam/fmo
Les enseignants invités à reprendre les cours ont brillé par les absences partout lors de notre passage dans les établissements primaires.
Au groupe scolaire N’Gokro, une institutrice de la classe de CE2 « venue mettre de l’ordre dans son bureau » a confirmé l’absence des instituteurs depuis l’entame de la grève.
Dans le secondaire, les cours ont certes repris, mais timidement, avec l’absence de certains professeurs qui ont préféré rester à la maison. « Nous voulons voir un peu plus clair et avoir des garanties avant toute reprise », a justifié un enseignant rencontré aux abords du lycée mixte de Yamoussoukro.
Le secteur de l’éducation-formation est secoué depuis plusieurs semaines par une grève des enseignants qui revendiquent entre autres la revalorisation des indemnités de logement des enseignants du préscolaires, du primaire et du secondaire, la suppression des cours de mercredi dans le primaire, le relèvement au double de toutes les primes liées aux examens scolaires.
nam/fmo