Les discussions autour de l’importante réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), en vue de la présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire, sont au point mort. En cause : une interprétation différente entre le pouvoir et l'opposition de l’arrêt de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples (CADHP), qui avait exigé une refonte de la loi électorale jugée déséquilibrée.
C’était le 21 janvier 2019. Dans l’auditorium de la primature, les responsables de partis d’opposition affichaient leur plus beau sourire. Ce jour-là, le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly ouvrait les discussions autour de la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), une vieille doléance de l’opposition et un vœu de nombreux diplomates accrédités... suite de l'article sur Jeune Afrique
C’était le 21 janvier 2019. Dans l’auditorium de la primature, les responsables de partis d’opposition affichaient leur plus beau sourire. Ce jour-là, le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly ouvrait les discussions autour de la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), une vieille doléance de l’opposition et un vœu de nombreux diplomates accrédités... suite de l'article sur Jeune Afrique