Niakara- La communauté "Focolari" de la paroisse Saint-Joseph de Niakara, a commémoré, dimanche, à Kanawolo, village carrefour au nord de la ville, le décès de la fondatrice de ce courant de renouveau spirituel et social au sein de l'Église catholique, a constaté l'AIP sur place.
En présence de responsables, dont Jeanne Kabanga, présidente de la zone Afrique, qui comprend la Guinée-Bissau, la Guinée Conakry, la Côte d'Ivoire, la communauté "Focolari" a commémoré le décès de Chiara Lubich, la fondatrice née en 1920 et décédée le 14 mars 2008.
Fondée en 1943, à Trente, en Italie, "Focolari" (Foyer où brûle le feu en italien), revendique une quarantaine de membres à Kanawolo.
"Le mouvement est ancré dans l'Église catholique mais sa spiritualité est vécue dans d'autres religions et par des personnes sans appartenance religieuse", a affirmé Ernest Yardjouma, président des Focolares de Niakara.
Au cours de la messe, à la chapelle de Kanawolo, le père Arnaud Traoré, vicaire de la paroisse Saint-Joseph de Niakara, a félicité et encouragé le mouvement "Focolari" pour ses actions spirituelles et sociales en Côte d'Ivoire.
jbm/aaa/fmo
En présence de responsables, dont Jeanne Kabanga, présidente de la zone Afrique, qui comprend la Guinée-Bissau, la Guinée Conakry, la Côte d'Ivoire, la communauté "Focolari" a commémoré le décès de Chiara Lubich, la fondatrice née en 1920 et décédée le 14 mars 2008.
Fondée en 1943, à Trente, en Italie, "Focolari" (Foyer où brûle le feu en italien), revendique une quarantaine de membres à Kanawolo.
"Le mouvement est ancré dans l'Église catholique mais sa spiritualité est vécue dans d'autres religions et par des personnes sans appartenance religieuse", a affirmé Ernest Yardjouma, président des Focolares de Niakara.
Au cours de la messe, à la chapelle de Kanawolo, le père Arnaud Traoré, vicaire de la paroisse Saint-Joseph de Niakara, a félicité et encouragé le mouvement "Focolari" pour ses actions spirituelles et sociales en Côte d'Ivoire.
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