Le Pavillon des Lettres d’Afrique, stand fédérateur des pays africains au Salon du livre de Paris, n’a pas ouvert ses portes cette année. Après les éditions de 2017 et 2018 qui ont connu de vifs succès et souligné son importance majeure dans l’écosystème dudit Salon, cette absence a été vécue avec désolation par de nombreux professionnels du secteur.
Il ressort de l’examen de ce dossier que l’Agence Culturelle Africaine (ACA), administratrice du Pavillon, a laissé une dette qui a contraint les organisateurs du Salon du livre de Paris à ne pas autoriser son ouverture.
Cette dette est due, manifestement, à une faiblesse de management et de gestion, ainsi qu’à la dispersion de la Directrice générale de l’Agence Culturelle Africaine dans diverses autres activités culturelles budgétivores.
Assurant le leadership politique en sa qualité de chef de file du Pavillon des Lettres d’Afrique, la Côte d’Ivoire a honoré tous ses engagements financiers, dans les délais. Il en est de même des sponsors et des pays africains inscrits au Pavillon, au regard des informations dont dispose le Ministère de la Culture et de la Francophonie.
Tous les médias internationaux ayant accédé au dossier ont su situer les responsabilités. Ils ont tous dédouané la Côte d’Ivoire. Ils ont aussi salué, avec les meilleurs mots, son engagement dans la création du Pavillon des Lettres d’Afrique qui a été l’un des temps forts de Livre Paris, c’est-à-dire une admirable vitrine internationale au service du livre, des éditeurs, des écrivains africains et de ses diasporas.
Fort du dynamisme de son industrie du livre et de sa volonté de servir l’Afrique, la Côte d’Ivoire répondra toujours présente aux rendez-vous permettant d’intégrer de nouvelles énergies dans la vie du livre africain.
Il ressort de l’examen de ce dossier que l’Agence Culturelle Africaine (ACA), administratrice du Pavillon, a laissé une dette qui a contraint les organisateurs du Salon du livre de Paris à ne pas autoriser son ouverture.
Cette dette est due, manifestement, à une faiblesse de management et de gestion, ainsi qu’à la dispersion de la Directrice générale de l’Agence Culturelle Africaine dans diverses autres activités culturelles budgétivores.
Assurant le leadership politique en sa qualité de chef de file du Pavillon des Lettres d’Afrique, la Côte d’Ivoire a honoré tous ses engagements financiers, dans les délais. Il en est de même des sponsors et des pays africains inscrits au Pavillon, au regard des informations dont dispose le Ministère de la Culture et de la Francophonie.
Tous les médias internationaux ayant accédé au dossier ont su situer les responsabilités. Ils ont tous dédouané la Côte d’Ivoire. Ils ont aussi salué, avec les meilleurs mots, son engagement dans la création du Pavillon des Lettres d’Afrique qui a été l’un des temps forts de Livre Paris, c’est-à-dire une admirable vitrine internationale au service du livre, des éditeurs, des écrivains africains et de ses diasporas.
Fort du dynamisme de son industrie du livre et de sa volonté de servir l’Afrique, la Côte d’Ivoire répondra toujours présente aux rendez-vous permettant d’intégrer de nouvelles énergies dans la vie du livre africain.