Abidjan - Assurant le leadership politique en sa qualité de chef de file du Pavillon des lettres d’Afrique, la Côte d’Ivoire, à travers, son ministère de la Culture et de la Francophonie, a expliqué l’absence de ce stand au salon du livre de Paris 2019, dans une mise au point transmise mercredi à l’AIP.
« Il ressort de l’examen de ce dossier que l’Agence Culturelle Africaine (ACA), administratrice du Pavillon, a laissé une dette qui a contraint les organisateurs du Salon du livre de Paris à ne pas autoriser son ouverture », relève le document.
Selon le ministère de la Culture, cette dette est due, « manifestement, à une faiblesse de management et de gestion, ainsi qu’à la dispersion de la directrice générale de l’ACA dans diverses autres activités culturelles budgétivores ».
La note précise que la Côte d’Ivoire a honoré tous ses engagements financiers dans les délais, de même que les sponsors et les pays africains inscrits au Pavillon.
« Fort du dynamisme de son industrie du livre et de sa volonté de servir l’Afrique, la Côte d’Ivoire répondra toujours présente aux rendez-vous permettant d’intégrer de nouvelles énergies dans la vie du livre africain », rassure le ministère de la Culture et de la Francophonie.
Après les éditions de 2017 et 2018 qui ont connu de vifs succès de par leur importance dans l’écosystème dudit Salon, cette absence a été vécue avec désolation par de nombreux professionnels du secteur.
(AIP)
ena/fmo
« Il ressort de l’examen de ce dossier que l’Agence Culturelle Africaine (ACA), administratrice du Pavillon, a laissé une dette qui a contraint les organisateurs du Salon du livre de Paris à ne pas autoriser son ouverture », relève le document.
Selon le ministère de la Culture, cette dette est due, « manifestement, à une faiblesse de management et de gestion, ainsi qu’à la dispersion de la directrice générale de l’ACA dans diverses autres activités culturelles budgétivores ».
La note précise que la Côte d’Ivoire a honoré tous ses engagements financiers dans les délais, de même que les sponsors et les pays africains inscrits au Pavillon.
« Fort du dynamisme de son industrie du livre et de sa volonté de servir l’Afrique, la Côte d’Ivoire répondra toujours présente aux rendez-vous permettant d’intégrer de nouvelles énergies dans la vie du livre africain », rassure le ministère de la Culture et de la Francophonie.
Après les éditions de 2017 et 2018 qui ont connu de vifs succès de par leur importance dans l’écosystème dudit Salon, cette absence a été vécue avec désolation par de nombreux professionnels du secteur.
(AIP)
ena/fmo